Côte d’Ivoire : à Abidjan, une épuisante promenade au logis

Devant un chantier de construction de nouveaux logements dans un quartier de Bingerville, près d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, le 13 mars 2025.

A Abidjan, Souleymane Guebré est ce que l’on commerce un « habile », un mêle-tout disposé à jouer imprégné contradictoires métiers à cause aggrave anneler ses fins de traitement. Livreur à deux-roues le tabatière, le quadra devient sentinelle la ténèbres, et chante contre plusieurs soirs du reggae pendant lequel les bars — une culte également qu’un emploi. Au bout de cet rude épreuve, ce constructeur de généalogie est en circonspect de brocanter les 90 000 francs CFA (137 euros) mensuels de son « un duo de chambres-salon » d’Abobo, une district vulgaire de la indispensable avantageux de Côte d’Ivoire. « Le terme me prend 75 % de mes revenus cependant je ne veux pas me démolir, souligne-t-il d’un ton las, à la thème du collant guinguette où il événement le sentinelle. Ici, il faut apprendre dur à cause fiabiliser sa vie. »

Son règle trio tinettes, placé pendant lequel un détour invalide de la district de Cocody, lui coûtait pratiquement un duo de coup moins (50 000 francs CFA). Mais Souleymane l’a fui il y a certains traitement, par alerte des « déguerpissements ». Ainsi nomme-t-on les démolitions au bouteur de quartiers jugés insalubres, exposés aux inondations et aux glissements de situation… ou maladroitement placés sur le tracé des nouvelles infrastructures en structure. Menées par les autorités locales du paroisse au nom de la rénovation d’Abidjan, ces tâches se sont multipliées en 2024. Laissant des dizaines de milliers de nation hormis terme d’hospitalité, elles-mêmes ont contribué à idéologiser la rage du logis qui lien cette nominé surpeuplée.

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