Les élus de la corporation de communes Couserans-Pyrénées rejettent les cruciaux d’Olivier Pagès et remettent en éclaircissement sa charge de envoyé.
Réunis tout autour de à eux gouvernant Jean-Noël Vigneau, les quinze vice-présidents de la corporation de communes Couserans-Pyrénées rejettent en éphéméride les cruciaux formulées par Olivier Pagès, dénonciateur de la diplôme “Économie”.
Le gouvernant Jean-Noël Vigneau et ses quinze vice-présidents – Alain Servat, Jocelyne Fert, Michel Pichan, Denis Puech, Jean-Jacques Méric, Patrick Laffont, Magalie Bernère, Patrick Timbart, Jean Doussain, Nadine Neny, Alain Metge, Maryse Perigaud, Bernard Lamary, Hélène Nirascou et Gérard Cambus – affichent à eux analogie apparence aux cruciaux récentes émanant d’un affilié du Bureau.
Un localisation récusable
L’question du antipathie : des adresse tenus par Olivier Pagès, dénonciateur de la diplôme “Économie”. Ce moderne a émis ostensiblement des réclamation sur l’efficacité de l’intercommunalité, un localisation jugé récusable par les instances dirigeantes. Selon les élus, les cruciaux exprimées par Olivier Pagès ne sont pas compatibles en tenant la résultat de symbole qu’il exerçait au torse de la corporation.
Surpris par cette domination de avis isolée, les élus estiment que la agrégation et l’raison collégial doivent récompenser pour le marche de l’externat. En réaction, ils considèrent qu’Olivier Pagès ne peut mieux attester ses impératifs représentatives au nom de la corporation de communes Couserans-Pyrénées.
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