
Après contradictoires saisons passées dans Frontignan et Montpellier, Cyrielle Martin met un dénouement à sa bordure. Avec 626 buts en 126 amusements de Nationale 1, sézigue tire sa compliment comme anonymat, purement non sinon épouvante.
L’ailière et n°4 du MHB, Cyrielle Martin, a 23 ans de balle à la main là-dedans les jambes… et là-dedans les balustrade ! Originaire du Puy-en-Velay, sézigue a dette la discipline à l’âge de 9 ans, pardon à une camarade. “Elle m’a emmenée à un entraînement dans le club de notre village. J’ai accroché tout de suite, et depuis je n’ai jamais arrêté.” Jusqu’à ce 24 mai 2025 et le moderne ludisme de la moment front à St-Genis-Laval, cédé par un abondance (34-32). Durant sa bordure, sézigue a vu progresser le balle à la main femelle, purement gloire que les marche restent limités. “On voit les finales à la télé, mais sur le terrain, peu de changements. Les clubs féminins galèrent encore financièrement, chaque année, certains ferment.”
Sur le position, cependant, sézigue a rayonné. Mais sézigue préfère babiller de vague que de chiffres. “Les stats, ce n’est pas ce qui m’anime. J’ai toujours donné le meilleur de moi-même, et ces deux dernières saisons, ça a bien fonctionné.”
Première supportrice
Cyrielle va parrainer intimement le amorce du MHB femelle qui est en talus. “C’est un très beau projet. S’il est bien mené, il peut aller loin.” Des commentaires farci la traits au occurrence de déménager : “J’en garde beaucoup, mais d’abord un match contre Montluçon. Rien n’allait. Notre gardienne Yona est remplacée par une joueuse de champ, Emma Arino, et on gagne !” Mais le principalement bien occurrence déchet ce ludisme grâce à Thuir la moment dernière. Trois buts en une instantané, lequel icelui de la bonheur à la dernière minute. Relance d’Anne-Sophie (Trauchessec) là-dedans les dernières secondes et je fais ma jalouse. Là, j’soutiens infatuée !”
“Ce sport est riche, intense, humain. Il apporte beaucoup”
Durant le moderne ludisme au FDI Stadium, pas de hypocondrie, collant un intention : “Gagner, finir sur une bonne note à domicile devant nos supporters, amis…” Elle rend comme tribut à Manuela Ilie sa coupé pendant plusieurs saisons : “Elle est arrivée à un moment compliqué pour moi. Elle m’a redonné goût au jeu. Elle sait déjà tout ce que je pense qu’elle.”
Un briefing aux jeunes filles qui hésiteraient ? “Foncez. Ce sport est riche, intense, humain. Il apporte beaucoup.” La complication que l’on est tenté de mettre c’est : est-ce qu’un fenêtre sézigue prendrait la turban de coupé ? Sa décrétale est un peu suspendue là-dedans les airs tel une contre-offensive étonnamment tenir complot qui pourrait arrêter en soupirail opposée. “J’ai les diplômes, mais ce n’est pas prévu pour le moment”, avant d’étendre : “Je serai leur groupie n° 1 ! Souhaitez-moi d’être heureuse dans ma nouvelle vie, libre les week-ends… sans handball cette fois !”
Comments are closed.