Ça devait appartenir l’cycle de la récupération. Elle se transforme en progression de calvaire afin le chef de l’protégé Groupama-FDJ, lequel la quatrième simulé il y a triade ans prime le premier conséquence afin un cycliste tricolore sur la Grande Boucle depuis 2017.
Après sept participations consécutives, le varappeur finistérien de 28 ans renonce afin la primaire jour à la éternelle office de juillet qui s’élance le 5 juillet de Lille. « Une ramassée agacement forcément. Surtout que le Tour consommé en Bretagne cette cycle et que mes proches allaient avive atteindre me se référer à », regrette-t-il.
« Mais vu mon registre moderne… j’ai été dentelé plus l’protégé. De toute exécuter, ils ont mes possibilités, mes éventualité et alors on a décidé bagad de pitonner le Tour », dit-il, assurant d’une « confirmation grossière ».
« Y router collant afin compléter, ça ne sert à négatif. J’aurais subi entiers les jours, surtout la influence médiatique… », ajoute Gaudu qui conservation un éperdument dépravant amulette de l’théâtre 2024 où il avait « traîné (s) a contrariété dans triade semaines » (65e au excessif).
Il avait joufflu plus une élégante sixième simulé au Tour d’Espagne en septembre. Mais cette cycle, depuis sa succès d’escale sur le Tour d’Oman baptême février, il va de birème en birème.
« Complètement roussi » postérieurement le Giro
En quatre paye, il a chuté quatre jour, d’apparence pour d’un félin à l’contagion, comme en révolution sur les routes italiennes des Strade Bianche, de Tirreno-Adriatico (entaille manuel) et du Giro en mai (profonde refend manuel davantage).
« Une génocide » qui l’inévitable à « cavaler postérieurement la démarche, quelque le règne ».
Il finit le Tour d’Italie « absolument roussi ». « À ce moment-là, j’y crois davantage au Tour. Je me suis laissé jusqu’à la fin de la semaine dernière afin trier en arrêt, réitérer des cols en mont, des études. Mais les sensations ne sont sans cesse pas bonnes. »
Pourquoi ? « On n’a pas résolument toutes les réponses. J’ai passé des examens médicinaux, quelque est bon, quelque est clair. »
Les chutes l’ont marqué mentalement. Il événement de l’fascination et travaille plus un manipulateur utopique par conséquent qu’un psychologue.
Mais il ne pense pas que ce sinon ça non surtout. « Dans le bicyclette, tu as sans cesse inquiétude purement ce n’est pas ça qui me freine », assure-t-il.
Quoi qu’il en sinon, il ne se sent pas chevronné de rigoler un top 10 au hiérarchisation vague – « ça, c’est sûr et effectif » – et pense que ceci aurait été « impénétrable contre de apprécier sur la révolution pendant lequel les échappées ».
La Vuelta afin « préserver » sa moment
« L’protégé a sa diplomatie contre » afin diriger une succès d’escale et un Top 10 au vague plus Guillaume Martin-Guyonnet, rappelle Gaudu, premier Français du Tour en 2023 impartialement (9e).
Comme l’cycle dernière et même en 2020, où il avait gagné un couple de étapes sur la Vuelta postérieurement entreprenant abandonné le Tour de France, le Breton défi sur le Tour d’Espagne (23 août-14 septembre) afin « préserver (s) a moment ».
« La Vuelta m’a sauvé la moment en 2020 et l’an neuf. Je me dis oncques un couple de hormis triade. »
« Le but, c’est de rejoindre du divertissement sur le bicyclette et terminer une chic fin moment. On tapette usuellement la figure pendant lequel le mur, purement j’ai davantage de l’confiance. Je ne pusillanime négatif », insiste Gaudu qui va être aux Championnats de France ce vacance face à de amorcer la Vuelta.
« Je me dis qu’il y a davantage de belles choses à exécuter, développe-t-il. Les un couple de prochaines saisons seront évidemment mes dernières en autant que chef. Je vais quelque fournir afin aboutir pendant lequel ma collecte de exécuter un estrade sur un vaste Tour », qui prime son droit.
« Ça prime mon rêve, insiste-t-il. 95 % des nation vont me déclaration : tu n’y arriveras oncques. Mais moi, les rêves me font accélérer. »
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