Des colliers aux phéromones afin limoger le masque et cacher les ouaille : une paire de expérimentations pour le Lot

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Après une feuilleton d’pièges en 2024, le masque n’a encore été évalué en terres lotoises. Pour cacher à elles troupe, une épilogue inventive émerge : des colliers rayonnant des phéromones de masque, développés par la couvent M2i. Cette technologie est désormais expérimentée pour le Lot.

Le masque n’est pas faveur en terres lotoises depuis l’été 2024, où une dizaine d’pièges avaient été recensées. Cependant, la attention prime de uniforme, et les éleveurs restent sur à elles gardes. Tout est bon afin cacher à elles troupe de ouaille. Et les colliers aux phéromones, développés par la couvent M2i, qui a un secteur à Parnac (Lot), semblent convenir une épilogue toute trouvée.

“Nous fabriquons des phéromones, soit les odeurs qui permettent aux espèces de communiquer. On les reproduit en laboratoire grâce à des procédés biométriques. On joue un rôle dans le biocontrôle : en protégeant les cultures, comme les vignes à Cahors ou encore le riz au Vietnam et le maïs en Afrique”, détaille Johan Fournil, principal marchéage. Mais depuis tout siècle, cette procès a large un virtuosité bétail. Et singulièrement afin surpasser les pièges du masque sur les troupe.

“Les pertes sont divisées par trois ou par quatre”

En coopération envers des chercheurs étrangers, singulièrement italiens et suisses, qui s’existaient déjà penchés sur le porté, l’procès a inclus un mouche équipé d’un carton, celui-là truffé de granulés imprégnés de phéromones de masque. “Les loups sont très territoriaux, ils marquent leur territoire par des odeurs. Le but est de dissuader l’animal de pénétrer sur un territoire en lui faisant croire qu’un rival y est installé”, surgeon le impartiale, “donc, en équipant les troupeaux de colliers avec les phéromones, le loup ne s’y risquera pas en pensant qu’un autre y a marqué son territoire. Que le troupeau soit statique ou en mouvement, cela est dissuasif.”

Pour que ceci O.K. énergique, les une paire de témoin des ouaille doivent en convenir équipées. Le carton doit convenir récent complets les quatre appointement, ce qui correspond à une période : “C’est une tranquillité d’esprit aussi pour les éleveurs. Ils mettent les colliers en début de saison, et n’ont plus à s’en préoccuper après. Nous protégeons les troupeaux, mais on pense aussi aux éleveurs qui sont fatigués et sous un stress permanent.” À science que le mouche n’a aucune impact sur les troupe, sur les chiens ni sur les pâtres. Les primordiaux retours d’vérification sont préférablement brillants. “Nous avons fait des tests en Grèce avec des éleveurs caprins. Les résultats sont très convaincants : sur deux troupeaux de 200 bêtes qui avaient subi une quarantaine de pertes l’année d’avant, une seule bête a été tuée depuis le port du collier. De manière générale, les pertes sont divisées par trois ou par quatre”, prémuni icelui qui travaille à M2i. Des tests sont puisque en lycée pour les Pyrénées.

Deux expérimentations en lycée pour le Lot

Et le Lot pour somme ça ? “En 2023, nous devions faire une expérimentation avec trois éleveurs qui étaient menacés par la prédation, mais la louve a été prélevée quelques jours après, donc nous ne sommes pas allés au bout”, luge Johan Fournil. Cette cycle, la savoir-faire inventive de M2i va affairé se montrer pour le préfecture. Deux expérimentations sont en lycée.

La ouverture a situation au verger artiste de Gramat. “C’est un essai en semi-captivité, et c’est très intéressant pour nous. Nous avons déposé les phéromones à certains endroits et nous vérifions le comportement du loup : stratégie d’évitement, absence d’habituation… Nous pouvons étudier la quantité, le dosage, la durée de diffusion, l’impact selon l’endroit où est déposée la phéromone… On vérifie tout cela, et cela va nous permettre d’améliorer grandement notre dispositif”, explique le principal marchéage. Une ouverture a lors d’ores et déjà été conspiration, et une suivant devrait fonder d’ici l’été.

Une divergent tentative va détenir situation en collaboration envers le Parc Naturel Dialectal des Causses du Quercy, où le augmentation du masque n’est pas écarté. “Nous allons équiper quelques troupeaux du parc avec nos colliers. On va pouvoir analyser la réaction des troupeaux et des chiens qui les guident. On va vérifier avec des mesures précises et régulières plusieurs éléments, comme le placement du diffuseur. Et il n’y a pas de prédateur qui risque de venir perturber l’expérience”, prémuni Johan Fournil. Les troupe seront équipés d’ici juillet. Le principal marchéage de M2i conclut : “Si le loup devait revenir dans le Lot, on espère que les éleveurs auront notre collier à disposition. C’est une manière de se préparer.”

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