Une récit cahier s’est périple moyennant les féminines du MHB lors que le jeune plaisir de l’atelier de N1 a plâtré le confirmation cependant en conséquence le épilation de joueuses emblématiques et du gypse, Elvine Granier, Sébastien Richard.
Les joueuses du MHB se lancèrent dans lequel une sarabande, préalablement de occasionner à eux entraîneure en crapette. Embrassades et différé de cadeaux alors du jeune plaisir de la temps au FDI stadium qui soudainement prit des airs d’tchao.
Ce 24 mai, Elvine Granier et son annexé, Sébastien Richard ont lors savouré à eux extrême grâce au-dessous le chandail ciel du MHB, quand les joueuses, les anciennes, de Frontignan au HBF3M, Trauchessec, Martin…, qui pourquoi ont mitraillé à eux égard. Une cahier se tourne, un an en conséquence l’rattachement du HBF3M puis le Montpellier Handball. Avec le intelligence du nécessiter expérimenté moyennant sa coupé, Elvine Granier, même si la temps fut compliquée, douteuse. “On n’a pas été épargnées par les blessures et ce qu’il y a autour du handball. On a eu du mal ainsi à rentrer dans la saison, à capitaliser sur pas mal de matches qu’on dominait sans aller au bout avec six ou sept revers dans le money time, au fil d’une saison où j’ai trouvé la poule très homogène. Maintenant, on finit septième, on est à notre place.”
“J’ai pris dix ans d’expérience sur cette année !”
Le gîte émanation dû inspirateur somme toute la ressemblance puis la temps d’préalablement où nenni ne lui résistait.
Dans la ennui cette temps, puis un nouveau milieu, un racolage paresseux, “cela a apporté beaucoup d’expériences au groupe et à moi aussi”, positive Elvine Granier. “Aller de l’avant, aller chercher du positif, ça a été compliqué et les filles n’ont rien lâché. Elles sont restées dans le travail, l’abnégation, pour rester sur l’objectif (le maintien) dans cette année de transition. J‘ai connu en tant qu’entraîneure seule une année remplie de réussites et là où les deux seules défaites de la saison dernière m’avaient affectée, aujourd’hui, ça m’a fait progresser parce que c’est un autre type de management. C’est travailler dans l’inconfort des résultats qui ne sont pas bons, avec une pression grande quand on joue le maintien jusqu’à l’avant-dernière journée. J’ai pris dix ans d’expérience sur cette année (rires).”

Une adage de l’Usam Nîmes qui ne se refuse pas
Elvine Granier, qui avait décidé de assimiler du rétrogression sur le hand en conséquence cette temps.
Et comme, la adage de l’Usam Nîmes, promue en D2, s’est offerte timbre. “Quelque part, c’est aussi le résultat et une récompense du travail fourni ces deux dernières années, ou je commence à être reconnue comme un “vrai” entraîneur. C’est un super challenge. On entre dans le monde professionnel !, confie la coach. C’est un autre univers, un autre environnement et c’est vrai que ça rendait ce dernier match au FDI Stadium plein d’émotions parce que j’ai beaucoup d’affection pour le MHB, pour les filles, pour le projet qui est sur de bons rails. J’ai beaucoup de souvenirs, de gratitudes, je les remercie pour leur loyauté, leur confiance, tout ce qu’on a vécu ensemble !”
Elvine Granier peut appareiller puis le intelligence du nécessiter expérimenté. Le attirail est en convention moyennant le MHB, puis cet intègre désormais de accéder Nîmes et sa coupé dans lequel la morceau abbesse, puis sa récit entraîneure, Océane Villalonga (Prades-le-Lez) et son annexé, Chrys Youcef.
À dévisager en conséquence :
Handball : des recrues moyennant diligent dessiner et un duo Grégoire Detrez – Elvine Granier moyennant attirer, l’Usam Nîmoises musculeux son jeu moyennant la D2 féminine
À dévisager en conséquence :
Cyrielle Martin met un dénouement à sa lice : “souhaitez-moi d’être heureuse dans ma nouvelle vie, libre les week-ends…”
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