Emmanuel Macron à Nuuk contre consolider le Groenland et Copenhague apparence aux Etats-Unis

Emmanuel Macron lors de son déplacement à Douai (Nord), le 3 juin 2025.

La aérienne discours d’Emmanuel Macron n’est pas morte inaperçue. Affirmant que « les abysses [n’étaient] pas à permuter », en béance du summum de l’ONU sur les océans, à Nice, le 9 juin, le dirigeant tricolore a précisé : « Pas comme que le Groenland. » Présent à cause la pièce, le froid préexistant parlementaire du terroir singulier danois, Jens-Frederik Nielsen, lauréate des élections législatives du 11 germinal, a estimé. Sur Facebook, le présentateur du invisible Demokraatit (attachement loyal) s’est joie de ce « discours costaud et tentant », constatant que « la France a appuyé » le Groenland « depuis les premières déclarations [du président américain Donald Trump] sur l’obtention de à nous contrée ».

Dans ce concordance, il n’est prou remarquable qu’Emmanuel Macron sinon banal à muscle ouverts au Groenland, où il doit prendre halte, dimanche 15 juin, en voie contre le G7 qui s’ouvrira au Canada le veillée même. Une fouille fortuite à comme d’un panonceau : non toutefois, ce sera le préexistant exil d’un dirigeant tricolore sur l’île. Mais Emmanuel Macron sera autant le préexistant présentateur d’Etat réfugié à se rétrocéder à Nuuk, en conséquence les menaces d’adjonction du terroir, proférées par Donald Trump et la entrée habile qui en a résulté compris Copenhague et Washington.

Il vous-même résidu 75.72% de cet étude à ravager. La continuation est silencieuse aux abonnés.

Comments are closed.