Finale Stade Toulousain-UBB : “On nous l’a pas mal rabâché…” Pourquoi Bordeaux-Bègles ne semble rien perturbé endroit le terminal compétition de la moment

l’établissant
Avant la dénouement de Top 14 compris Toulouse et Bordeaux-Bègles, ce sabbat 28 juin au Stade de France (21h05), les Girondins ont remise l’symbole d’une étymologie en évangélisation.

Une sentiment de tranquillité. Voilà ce qu’il faut barrer de la coucher d’panonceau de l’UBB au Stade de France, où la consacrée discussion de zèle d’avant-match a déclenché jadis pile une demi-heure de tergiversation. “C’est un problème de logistique quand on découvre la capitale, souriait Yannick Bru. On a mis une heure et quart pour venir (avec Maxime Lucu, Jefferson Poirot et Nicolas Depoortere, NDLR), c’était vraiment sympa. On est partis 35 minutes avant le bus (en van, NDLR) et il nous a fait coucou à l’arrivée car il était arrivé avant nous. C’est toujours l’apprentissage !”

“On ne va pas s’arrêter là”

Malgré ça, au opportunité de réessayer à eux fortune un an alors la fustigation du Vélodrome (3-59), les Girondins dégageaient une effective sûreté proportionnellement à l’an passé, alors actif cicatrisé « une fracture probablement constructrice » continuateur les dires du pylône lourdaud.”C’est une étape et pas une finalité contrairement à l’année dernière, annonçait-il. On avait envie de ramener le club là où on l’avait laissé l’an dernier, douloureusement on va dire. Et la vraie vérité (sic), ce sera demain (ce soir).”

À consumer de même :
ENTRETIEN. Finale Stade Toulousain-UBB : “La revanche appelle la colère…” Après la heurt de l’période dernière, Yannick Bru bienveillant à exposer Toulouse

Car l’UBB en veut surtout, infiniment surtout que son armes occidental encaissé le salaire terminal.”On a grandi, on assume ce rôle de champions d’Europe mais on ne va pas s’arrêter là, annonce Depoortere. On a dit qu’on voulait s’installer à la table des grands, c’est une chose de faite mais si on s’arrête sur ça, c’est inutile. Il faut confirmer maintenant donc on va essayer de tout faire pour réaliser le doublé.”

Et entre cette recherche, pas partie d’attaquer le traverse de la réparation.”C’est se tromper d’en parler ou alors de se focaliser sur ça parce que ça engendre des émotions qui peuvent prendre le pas sur la performance, prévient Lucu. On sait très bien ce qu’il y a eu l’année dernière, on nous l’a pas mal rabâché. On prépare ça en se disant qu’on a réussi à revenir et maintenant, il faut savoir si on a grandi, appris, si l’expérience est revenue.”

Comments are closed.