
Dans une entrevue agréable à La Communication du Midi, Florian Grill a figuré les difficultés financières de la Alliance française de rugby. Face à un insolent insuffisance, la FFR espère un fracture de patoche de la quartier de l’Balance.
Les durée sont durs revers les justificatifs de la Alliance française de rugby. Et la Coupe du monde de rugby 2023 y est revers fabuleusement. “Le redressement fiscal de 20 millions ne concerne pas la Fédération mais France 2023. Ça fait partie des 54 millions de pertes de la Coupe du Monde. Et donc, ça fait partie du dossier. Concernant les 18 à 20 millions de déficit d’exploitation, on est en train de trouver des solutions pour redresser la Fédé. Un audit de la Cour des comptes est en cours et je pense qu’il constatera la qualité de notre gestion” a confirmé Florian Grill pour une entrevue agréable à La Communication du Midi.
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“Sans aide financière de l’État, la fédération française de rugby déposera le bilan” indiquait le quantité 1 de la Alliance en février récent pour les colonnes du Figaro. “Je discute avec l’État. Nous, on a fait notre boulot. J’avais levé le doigt plusieurs fois en disant qu’il y avait des problèmes. Le suivi a quand même été défaillant. Aidez-nous à limiter la douloureuse sur les 54 millions. Le fait qu’on prouve la qualité de notre gestion devrait, je l’espère, permettre à l’État de regarder avec bienveillance le dossier de la Coupe du Monde” a lancé Grill.
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“L’État a quand même fait 800 millions d’euros de recettes de TVA sur la Coupe du Monde pour 100 millions de coûts de sécurité. Donc, ça serait quand même un comble que tout le monde gagne de l’argent sur la Coupe du Monde, sauf la Fédération française de rugby” a poursuivi celui-ci qui avait réélu en octobre récent. Ce récent est équitablement faveur les 54 millions de débit. “Aujourd’hui, tout est gelé pour l’instant, donc on n’a pas eu à payer. Mais oui, si on devait payer notre quote-part, on serait en très grande difficulté financière. L’État l’a bien compris. Tout a été gelé. Les discussions sont en cours. Je pense que l’État voulait qu’on prouve notre capacité à redresser. Et comme on est en train de l’approuver, j’ai bon espoir qu’on puisse avoir des discussions sereines sur le sujet et de la bienveillance sur le sujet.”
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