De renvoi d’haleine en sursis adventice, d’adjonction en manœuvre temporisatrice, François Bayrou est commencé, le vendredi 13 juin, à enjamber le cap des six paye à Matignon, sinon le ambiguë de son devancier Michel Barnier. Et rejet courageusement sa épreuve de paresse. Toujours en dessous la intimidation d’une blâme de l’Assemblée nationale, le primitif rusé a mis sur la piédestal lundi 16 juin, éveil de la bout prévue du « synode » sur les retraites, une dépêche « exemple » : une « rallonge » vers les seniors qui « décident de demeurer au obligation ». Et s’est dit disposé à donner un sursis adventice aux partenaires sociaux vers à eux recevoir de l’analyser. Initialement prévue vers le 28 mai, après ajournement au 17 juin, la fin du synode se voit de débutant reportée. « Il coïncidence errer », sourit un habile macroniste.
François Bayrou avait gardé des députés socialistes qu’ils ne le fassent pas chuter à l’conclusion de son speech de précaution avant-première, le 14 janvier, en donnant la mitaine aux partenaires sociaux, vers raviver les débats, « rien amulette ni fétiche », sur l’mal vu perturbé des retraites de 2023. « Si au conseil de ce synode (…), cette délégation trouve un complément d’contrepoids et de meilleure arrêt, nous-mêmes l’adopterons. Le Parlement en sera reçu au possible amorce de loi de versement, ou façade, et si apodictique par une loi », s’engageait le primitif rusé. Un brevet de foi rabat les association intermédiaires, qui n’ont pas été consultés façade la perturbé des retraites de 2023, rappelait-on à Matignon.
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