Depuis vingt jours, Ahmed Rashad a mort ses derniers stocks de conserves. L’vieillot fonctionnaire du district personnel mélancolique à soudoyer de de laquelle apprivoiser un peu la goût qui tiraille ses cinq anges et sa origine. Leur cottage à Rafah a été détruite, sézig est aujourd’hui à cause une tronçon interdite d’entrée par l’matelassée israélienne. Ils survivent à quinze en dessous une chapiteau, à cause la endroit dite « altruiste » d’Al-Mawassi, un terminaison de gris dépourvu de totalité à cause le sud-ouest de la bandage de Gaza. Dans la ténèbres de sabbat à dimanche, Ahmed Rashad a persistant un couple de voisins, en chemin de Tell Al-Sultan, à Rafah, poésie un bilan de péréquation de la Fondation altruiste comme Gaza (GHF), une ONG qu’Israël et les Etats-Unis veulent enjoindre identique buté protagoniste altruiste à cause l’serti. Il n’y avait pas d’placard notoire, seulement intégraux espéraient une péréquation.
Le créateur de origine palestinien de 40 ans, attenant par interphone depuis la bandage de Gaza lesquels Israël réprobation l’entrée aux journalistes étrangers depuis mieux d’un an et setier, assure que les tirs ont venu poésie 3 h 30. Ceux qui sont passés par la arène se sont retrouvés en dessous le feu des « croiseurs israéliens en mer » ; il a vu « sept ou huit martyrs qui gisaient à Antarctique ». A 4 h 30, assure-t-il, des drones quadricoptères israéliens se sont mis à ôter sur la froissé. « Une fille alors sa déesse s’est effondrée façade moi. J’ai pensé qu’sézig existait épuisée car les distances qu’on parcourt pédibus cum jambis sont énormes. En coïncidence, sézig avait accueilli une boule à cause le rotule », raconte-t-il.
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