
Après quinze derniers jours mouvementés et une qualité apprise au frais occasion, le Stade Piscénois s’est penché en veille de dénouement de Fédérale 2 quelque Saint-Girons (6-29).
Sans pressentiment que des quarts de dénouement de Fédérale 2 ont été préparés parmi de meilleures contrat. Le Stade Piscénois s’est pointé à Châteaurenard, ce dimanche 15 juin, parmi des circonstance empressé particulières afin discourir un veille de dénouement de Fédérale 2 quelque Saint-Girons.
Pourquoi ? Tout bonnement étant donné que la Syndicat française de rugby, il y a quinze jours, avait franc vaincu le dancing héraultais au ordre imitation quelque Annecy. La faculté : des incidents survenus en tribunes, mêlant des joueurs de Pézenas et des supporters haut-savoyards, avaient poussé l’médiateur à décider la engagement à la 70e moment.
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Depuis ce week-end-là et jusqu’à vendredi, c’trouvait pour ainsi dire plein un dancing qui trouvait coalition en villégiatures.
“Jeudi, on a fait appel de la décision. Vendredi matin, à 8h30, on avait un rendez-vous en visio. Vers 15h30, on nous a dit qu’on était finalement qualifié pour les quarts”, raconte Marc Llari, le responsable. Une douce information ? Oui, positivement. Mais il y a un “mais”. Les dépense joueurs montés en tribunes sont suspendus. Et il faut plein conduire en moins de quarante-huit heures.
“Il a fallu récupérer les joueurs à la plage, rappeler les mecs. Mais jouer sans la moitié de ton équipe, c’est quand même compliqué. On l’a vu ce dimanche”, explique Marc Llari. En contrecoup, ses entités se sont inclinés quelque les Ariégeois de Saint-Girons (6-29). “Sur le terrain, on n’a rien à regretter. Les garçons ont fait une belle partie, même si on n’a pas pu montrer notre vrai niveau. Quand on arrive en quart de finale, on n’a pas à se plaindre, c’est déjà beau”, ajoute-t-il.
Montée en Fédérale 1 refusée ?
En se hissant à ce carrière de la rivalité, les Piscénois se sont présenté un lettre de pouvoir, icelui de la degré en Fédérale 1, un an derrière la degré en Fédérale 2. Mais le dancing ne devrait pas admettre. “Je ne pense pas qu’on monte. Financièrement, on n’a pas les moyens. Je ne veux pas mettre le club en péril. L’important est de jouer les premiers rôles en Fédérale 2. On va en discuter mais on va très certainement refuser, c’est sûr à 95 %”, assure le responsable.
L’composant est éloigné afin le cerné héraultais. “Je pense que les gens et les suiveurs du Stade Piscénois se sont amusés. Il y a un groupe qui s’est créé. Peut-être que l’an prochain, on visera encore plus haut”, guindé Marc Llari. Rendez-vous la de saison prochaine.
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