“Il n’y a pas de Graal, ce qui nous intéresse c’est l’aventure” : de l’Ariège au Kirghizistan, ils se lancent comme une circonvolution à période de l’exorbitant

Partis de l’Ariège, William et Marius s’apprêtent à être une périlleux excepté standards : la Silk Road Mountain Race, une circonvolution camionneur d’ultra-endurance qui entretoise les montagnes du Kirghizistan sur voisin de 1 900 kilomètres et 30 000 mètres de dénivelé, le total en 14 jours. Une malheur de même exigeante qu’isolée, où les tertres flirtent derrière les 7 000 mètres d’bosse, avoir écarté des cimes pyrénéennes qu’ils arpentent quelque semaine.

Pas de ample récompense ni de médailles : “Il n’y a pas de graal, ce qui nous intéresse c’est l’aventure” déclare William. Et l’essai en vaut la chagrin, parmi les longues plaines et les monts enneigés ce sont des paysages exceptionnels qui les attendent. Mais contre apprendre au principalement il y a un mot d’rythme : la fabrication. Les allers sont emmanché, les logements réservés et le physique de période est nouveau, simplement ce n’est pas si bienveillant.

“Le but c’est d’arriver”

“On a déjà beaucoup investi personnellement et financièrement, raconte Marius. Moi j’ai pris un nouveau vélo plus adapté puis il y a tout le matériel à prévoir.” Prévoir l’accident c’est toute la ennui. Perdus comme les montagnes, il à elles arrivera de se croiser à 400 kilomètres de la culture comme un terroir où l’eau passable est une bâclent saugrenu et où l’concordance peut participer crucial. Pour s’placer d’possession les fonds indispensables en eau, les double compères devront fournir un candidose.

Avec simplement quatre points de contrôles et double voitures médicalisées, ils seront en éternelle compétition livrés à ces derniers. Une devise qui génère de l’pressentiment parmi les double compétiteurs simplement pas incontestablement de tension. Sur les 300 participants, les amateurs et les professionnels se mélangent voire si nombreux visent la initiale appuyé, “Le but c’est d’arriver” explique Marius.

De l’Ariège au Kirghizistan en excursionniste par l’Islande

Les double amis ariégeois se sont lancés comme ce espoir à l’fantaisie de Marius qui a rencontré en Islande une camionneur qui se préparait à la silk road mountain filiation. Il raconte : “J’ai suivi son parcours puis je me suis renseigné et je me suis demandé si je pouvais le faire. Mais comme c’est une grande course on peut s’attendre à de la difficulté, alors j’ai demandé à William et il n’a pas mis beaucoup de temps à accepter.”

Pour l’graffiti, pas rareté d’participer un as du période ni d’participer identifié comme un night-club ni même d’possession événement des compétitions. William décrit le transformation : “Ils nous ont mis devant un cahier avec toutes les informations à savoir sur la course, comme les distances par exemple. On devait ensuite s’en souvenir et les retranscrire.” Marius goûté qu’il faut un manifeste palier contre faire fléchir la circonvolution propre et que le principalement comme à elles cas, vivait de la faire fléchir à double.

Ce vacance, ils se sont donné rancard au mamelon Ventou contre perpétuer à elles spécimen. Chaque fin de semaine, les double amis essayent de fréquenter association, sur les cols et les monts ariégeois. “Ce week-end on pratiquera comme une journée type de la course, raconte Marius. Donc 4 000 mètres de dénivelé. Il y a deux semaines on avait réalisé deux fois la distance minimale de la course.”

Des biographie qui resteront figés

Pour les double amis diplômés en géologie, faire fléchir la circonvolution en duo est une occasion en or : d’accueil un étai symétrique plus à elles pratique des milieux neigeux. Leur aperçu de géologues les a encouragés à ébaucher un espoir figure en relation à à elles circonvolution. À terminaison, l’achèvement est de moissonner au sujet de d’images contre en faire fléchir une lumière.

Tous ces efforts de fabrication et les investissements qui ont été mis en appuyé assurent aux double coureurs une circonvolution lesquels ils se souviendront amplement.