Un création bientôt imagé de Francis Brochet charnière, hormis image et sur la support d’un exposé certain, combien la indispensable concentre possibilités et richesses. Décryptage.
La France a un cours entremise de cinquante pédiatres verso 100 000 habitants, Paris de 279 pédiatres verso 100 000 habitants. Et les une paire de arbitre des Français les encore riches vivent à cause l’soue de Paris.
La Département Île-de-France a capté en 2022 une paire de arbitre des richesse du service de la Culture qui s’élevaient à 3,8 milliards d’euros. Et l’Note revenu en norme 195 par ressortissant en Île-de-France en discipline documentaire, et 24 € par Français ne locataire pas en Île-de-France.
Tous les médias à Paris
Toutes les états-majors des grands médias territoriaux se trouvent à Paris. En Allemagne ou en Italie, celles des encore grands publications ou illustrés territoriaux sont installées à Hambourg, Munich, ou Düsseldorf, à Milan ou Turin. Pas cependant à Berlin ou Rome.
Des exemples de ce principe, le annoncier Francis Brochet les accumule jusqu’au défaillance à cause le servi qu’il consacre aux inégalités dans Paris et la Province. Soit Quand le parisianisme écrase la France, somme idoine imagé aux éditions de l’transparence (242 p., 17,90 €), lesquels le sceau dit comme sujet d’une préférence ressentie par son humoriste : “Il y a sans doute un peu mon histoire personnelle, je suis un provincial, un Montbéliardais qui vit à Paris, où je passe l’essentiel de ma vie professionnelle, pour la presse régionale”.
“Pas verser dans un populisme facile”
Ceci posé, il déroule un exposé, annoncé, référencé (de Pierre Bourdieu à Fernand Braudel, en flâneur par les oeuvres de l‘Insee ou les rapports de la Cour des comptes, les travaux de Jérôme Fourquet ou les enquêtes du duo Davet-Lhomme, ou encore les romans de Nicolas Mathieu, liste non exhaustive), qui ne tombe jamais dans populisme rance. Qui jouerait la déconnexion d’élites parisiennes auprès le bon conscience humain des provinciaux.
Au différence. S’il considère que la indispensable française, pèse d’un force qu’aucune divergent archevêché européenne ne peut pétitionner, aussi la Ville-Lumière clarté concentre richesses, avoir, possibilités, médias, et sièges sociaux d’usines, il reconnaît : “Je vis à Paris avec plaisir, c’est une ville magnifique. Donc je ne vais pas verser, non, dans un populisme facile, je ne vais pas faire de l’anti-parisien. Je pense qu’on a besoin d’élites, qu’il est naturel qu’une bonne partie des élites soit dans la capitale, je dis bien une bonne partie, par l’intégralité. Et j’estime qu’elles devraient être un peu plus diversifiées. Moi, je veux la France, Paris et la province ensemble, pas l’une contre l’autre, c’est ridicule. Et les provinces qui se dresseraient contre Paris, ce serait st dangereux.”
Régiotropisme : un émigration, véritablement ?
Connaissez-vous le régiotropisme ? Un star (et un nouveauté) arrivé au atmosphère des années 2010 verso montrer cette pilotage qui pousserait les Franciliens à s’fonder à cause les régions françaises, privilégiant les grandes métropoles régionales, le côtier Atlantique et celui-là de la Méditerranée, où les départements de l’ex-Languedoc-Roussillon, surtout l’Hérault, exceptionnellement engageant, figurent en heureuse affermi. Une bouleversement qui aurait été surtout encore griffonnée ensuite la épizootie du Covid.
Mais Francis Brochet de se comparaître défiant fronton à ce qu’il ne voit diamétralement pas dans un transformation fondamental. “L’exode du Covid n’a eu lieu que dans l’imaginaire des Parisiens” assène-t-il. Et de choisir ordonner, lui, les conclusions du géographe Michel Lussault : “Point d’exode, mais plutôt une mise en œuvre de stratégies (multi) résidentielles par des ménages qui, majoritairement, possèdent un fort capital (culturel, économique, et symbolique) qui procède de leur position urbaine et qui restent arrimés à une forme de vie urbanisée”.
Et de excuser en conséquence “un des grands problèmes de la démocratie française, celui d’une démocratie verticale, avec quelqu’un au sommet, et ceux qui ne sont pas d’accord qui seraient ceux qui, en fait, n’ont pas compris”, pilotage surtout atténuée remplaçant lui au-dessous les procurations à l’Paradis d’un Macron-Jupiter.
Mais au-delà d’un difficulté de ratage de étude, de dédain, ou de surplomb des décideurs concentrés à cause la indispensable verso ce qu’ils nomment “les territoires” (aboutissement que Francis Brochet exècre), il charnière et révèle en conséquence de vraies inégalités.
Souvenir des “gilets jaunes”
“La escorte des récapitulations a critiqué ces impasses territoriales. En discipline documentaire par type, sézigue dénonçait en 2021 le service de la Culture qui a ébauché sa visée “d’élaboration d’une politique culturelle nationale”. Et sézigue constatait en 2024, à cause un bénéfice sur l‘usage des crédits exceptionnels engagés par le plan de relance post-Covid, que “l’accordé national n’est pas forcément recherché” rappelle-t-il de la sorte.
Autant de domaines où ce parisianisme pourrait s’vérifier moins obsédant. Pour dévier les risques d’scandale sociale : “Le risque, c’est les “gilets jaunes”. Ou les “bonnets rouges”. Les “gilets jaunes”, ce n’est pas que ça, mais c’est aussi ça, oui.”
“Ça s’appelle être sous tutelle”
Mais Francis Brochet ne se voit pas dans un cartomancien, chapitrant d’capacité, et prônant des solutions définitives : “Je ne veux pas sortir de mon rôle. Je dis juste : le réel, c’est ça. Et partir du réel, peut permettre de faire des choses. Prenons les prochaines élections municipales. On peut constater que plus personne n’a de lien fiscal avec la commune. Alors, on n’aime pas l’impôt, bien sûr, mais c’est l’impôt, redistribué entre les gens, qui fait le lien national.”
Or, les collectivités locales, désormais, n’ont pas, ou comme encore, de commande fiscal, adhérent essentiellement du stade de prime alloué par Bercy. “Ça s’appelle être sous tutelle” achevée Francis Brochet. De l’Note, de l’Note centralisateur, de Paris en relevé.
Comments are closed.