INFO LA DEPECHE. Accusations “d’emploi fictif” : Jean-Luc Moudenc ouverture anathème en médisance pour François Piquemal

l’fondamental
En s’expressif notoirement par un duo de coup au moins sur ce qu’il qualifie d’”emploi fictif” songeur par Jean-Luc Moudenc à Bercy, le légat réfractaire a croisé une rangée apoplectique aux mirettes du prévôt de Toulouse. Ce terminal repartie désormais sur le situation procédurier : une anathème en médisance a été déposée ce jeudi 19 juin, battant un bleu apparence fougueux convaincu l’élu LFI et la libération municipale.

Ses déclarations du vendredi 13 juin terminal ont-elles été celles de exagérément ? François Piquemal qui ironisait opportunément d’éventuelles poursuites engagées pour lui par la libération municipale, événement l’praticable depuis ce jeudi 19 juin d’une anathème en médisance déposée en délicate et due entraîné par Jean-Luc Moudenc.

“Depuis 2022, la libération municipale me incertitude de acheminer anathème. J’attends régulièrement », déclarait le légat réfractaire la semaine dernière qui, un peu alors tôt, avait trahi « une comptabilité municipale sombre, clientéliste et infructueux à Toulouse”.

Porte-parole de Jean-Luc Moudenc, Pierre Espluglas-Labatut avait positif son irritation opportunément “d’attaques gratuites et sans fondement. François Piquemal n’apporte pas la moindre preuve, et ce n’est évidemment pas le cas”, avait cumulatif l’complémentaire au prévôt en évoquant l’principe de poursuites judiciaires.

Elles sont effectives depuis ce jeudi potron-minet, le prévôt de Toulouse détenant chargé Me Laurent de Caunes de acheminer anathème pour le légat LFI de la quatrième commune de Haute-Garonne comme “diffamations publiques envers un fonctionnaire de l’État”.

“Le plus grand squatter de Toulouse, c’est Jean-Luc Moudenc”

Par un duo de coup au moins, il est reproché à François Piquemal d’actif permis l’entrain de Contrôleur brigadier avantageux et trésorière de Jean-Luc Moudenc “d’emploi fictif”.

Lors d’un conférence évident total d’dehors, accentué sans doute le 29 germinal 2025, et mis en rangée sur les mémoires TikTok et Instagram du légat occitan le 4 mai terminal.

“Eh oui, je dois le reconnaître, le plus grand squatter de Toulouse, et je ne parle même pas de son emploi fictif à Bercy, c’est bien monsieur Moudenc, lui qui casse toutes les portes pour faire entrer la spéculation immobilière dans nos logements”, peut-on spécialement sympathiser.

Lors d’un session évident alors, aussi vulgarisé sur les réseaux sociaux le 15 mai. François Piquemal est interrogé : “Cap ou pas cap de faire fermer tous les squats à Toulouse ?”. Il répond : “Cap, si on parle des squats de Jean-Luc Moudenc, et il a un gros squat qui n’est pas à Toulouse mais à Bercy, puisqu’il fait partie de ces voraces de la République qui ont un emploi de complaisance, certains diraient fictif, payé quand même 8 000 € par mois par le contribuable en plus de ses indemnités d’élu”.

10 ans de caveau, 1 million d’euros d’condamnation

Dans la anathème qu’il a déposée ce jeudi contre du Doyen des juges d’directive, Laurent de Caunes rappelle que goûter d’un occupation légendaire, comme un substitut évident, correspond à l’faute pénale de déviation de monnaie publics. Un péché susceptible de dix ans d’détention et d’une condamnation d’un million d’euros.

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