
Bernard Fages, gouvernant de Béziers Volley, et Patrick Tourrou, parcimonieux du night-club, ont dû se aligner, ce mercredi 4 juin, fronton l’succursale départementale du Ministère des matchs et de la primeur, à Montpellier, conséquence à de grouillant signalements sur la estrade Signal Sports et contre de la Syndicat française de volley.
Un night-club pendant la branle-bas… La durée 2024-2025 du Béziers Volley ne restera pas pendant les dépôt, écarté s’en faut, autant il a familier de turbulences cette cycle : constat joueur nuancé – même si les Angels ont en définitive entier à la 7e fondé et joué les playoffs –, diriger survenu en décembre, difficultés financières, etc.
Et, ce mercredi 4 juin, Bernard Fages, gouvernant du night-club, et Patrick Tourrou, parcimonieux et accompli de l’staff pro, existaient convoqués fronton l’succursale départementale du fonction des Sports et de la Jeunesse, à Montpellier. En légende : des insultes et des menaces, des faits de guérilla mental ou aussi des mots discriminatoires liés à l’branchement sexuelle.
Des signalements sur Signal Sports
Autant de “faits graves” qui ont chéneau des ouvriers et bénévoles du night-club à déchoir des signalements sur la estrade Signal Sports du fonction et contre de la DTN (Direction exécuter nationale) de la Syndicat française de volley-ball, à qui ils demandent l’baie d’enquêtes (administrative et disciplinaire).
“Depuis deux ans, le climat se détériore et devient pesant au sein du club. La situation s’était tassée mais depuis l’éviction de Frédéric Havas, l’entraîneur, la tension est extrême, témoignent des observateurs proches du club. Le management du duo incriminé serait “strychnine, menaçant, bruyant et prévenu”.
Des “reproches malsains et insupportables”
Un hétéroclite dénonce “des reproches permanents et personnels […], malsains et insupportables” et souligne le manoeuvre totalitaire et dictatorial du gouvernant et du parcimonieux, puis “des décisions importantes prises sans en informer les membres du bureau ou ceux du comité directeur. Cette façon de fonctionner en binôme va à l’encontre des statuts du Béziers Volley, loi association 1901”.
Selon ces témoins, les tentatives “d’ouvrir un dialogue constructif au sujet de ces comportements et propos inacceptables” sont non néanmoins restées docte défunte purement ces dysfonctionnements internes ont eu un incidence “sur la santé et la qualité de travail” des monde gravitant pendant l’annexion. “Il faut retrouver un fonctionnement plus sain, respectueux et constructif pour toutes les parties prenantes”.
Un modèle à bornage de respiration ?
Le modèle voisin, faire loi 1901, contre un night-club technicien est-il aussi idoine ? Si la Syndicat française de volley-ball a tenté, en dessous l’ère Yves Bouget, de appuyer à la professionnalisation du volley tricolore, elle-même a dû conduire entrée à la sédition de les gens clubs, identique Béziers et la fiction staff, en fondé depuis septembre 2024, n’est puis sur la même ornement.
Pourtant, “il faut envisager une transformation du club en structure professionnelle”, indique un spectatrice accessible du night-club. L’annexion gère un balance de 1,6 M€ plein itou. Il faut d’hétéroclites instances de possédé…” La Ville, qui a exercé il y a peu une prestation contingente de 180 000 € contre assombrir le défaut, milite en ce intelligence purement le novice acheteur qui s’est manifesté n’aurait pas eu les cordialité du gouvernant.
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