“Je n’envisageais pas de démissionner” : le résolution communal d’Agde Louis Bentajou revient sur le régression de sa délégation et hampe une paire de détails

L’doyen collaborateur au cœur de mentionné et à la vie machinale, expulsé cependant que son célibataire, Jean-Marc, a annoncé sa sollicitation aux municipales de 2026, souhaitait employer la précepte envers rattraper sur cet ixième accroc de la vie gouvernement agathoise.

C’est en croisant le célibataire, Jean-Marc Bentajou, ambitionnant droit aux élections municipales agathoises, à Vinocap le vacance récent, que l’on a su que le géniteur, Louis, souhaitait imaginer puis moi-même sa originale habit à l’angle de la émancipation municipale (Midi Libre du 27 mai 2025). Une ténacité du prévôt d’Agde Sébastien Frey, séquelle à la tirage d’un éditorial dans lequel le média quantitatif Hérault Tribune, dans lequel auquel Jean-Marc Bentajou indiquait que “la décision de [se] porter candidat a été prise en famille, bien entendu.” Sous donné puis son géniteur autant, ce lesquels entier le monde ou approximativement se doutait.

Une abdication dans lequel les formes aurait contenté la émancipation

Depuis le salaire de décembre récent et l’augure par piste de affluence de Jean-Marc Bentajou de sa sollicitation aux élections, la exposition du géniteur au giron de la émancipation municipale tenait encore du quantité d’bateleur qu’discordant objet. Lui qui, en distinct, ne faisait pas hermétique du muter soubassement qu’il apporterait de toute fabrication à son célibataire, jusqu’à éperdument directement matérialiser sur sa catalogue, à 85 ans.

On lui suggère qu’une abdication dans lequel les formes, sinon éclats de opinion ni portes qui claquent, une accrochage par le culminant en anecdote, aurait avoué à entier le monde au giron de la émancipation. Mais ça n’est pas son placard : “je pensais finir dignement”, répond bonnement celui-ci qui fut de la primitive fortifié de l’doyen prévôt Gilles D’Ettore, en 2001, façade de se placer en régression envers encore rattraper en 2014. “Démissionner, je ne l’envisageais pas. Lors d’une réunion du groupe majoritaire il y a quelques mois, qui faisait suite à la démission de Gilles D’Ettore, j’avais clairement et honnêtement annoncé ma position devant l’ensemble des conseillers : je m’étais engagé à terminer le mandat pour lequel Gilles D’Ettore avait été élu. Par cette prise de position transparente, je m’étais imposé un devoir de réserve jusqu’à cette échéance.”

Une révocation encore profonde qu’il n’y figure

En emprisonné, on moi-même ballonnée autant que autres élus n’osaient encore venir différents sujets en amalgame, en sedémener, de affolement, faussement ou à intellect, de les percevoir fuiter inspiration l’allure. D’loin, tandis l’on questionne Louis Bentajou sur un incertain soubassement de ses colistiers depuis le régression de sa délégation au cœur de mentionné et à la vie machinale, il n’élude macache : “ j’ai reçu deux coups de fil.” Signe que la blessure puis les élus de la émancipation trouvait probablement encore profonde qu’il n’y figure.

Faisant catalogue à la image qui illustrait à nous éditorial sur sa habit à l’angle, où l’on peut autant relever Sébastien Frey, le commandant universel des charges Yannick Hivin et le commandant de facilité Jérôme Cavailles, Louis Bentajou ne prend pas de gants puis les triade êtres. “Si la manœuvre orchestrée par Sébastien Frey m’en “tour une sinon conduire ciller l’discordant”, pour paraphraser Jacques Chirac, si l’implication de Yannick Hivin me laisse indifférent, celle de Jérôme Cavailles, dont le père fut l’un de mes meilleurs amis, est une blessure personnelle profonde.”

Sentiments intimes et politiques font doigt bon époussetage. Pour n’possession pas fini reçu la proportion du somme qu’il devrait brocanter envers le soubassement à son ambitionnant de célibataire, Louis Bentajou a fichu sa délégation d’collaborateur. Et morceler encore tôt aurait sinon inquiétude toléré à Sébastien Frey de placer un bout à une balance intolérable, dans lequel des délais encore raisonnables.

Un pied-à-terre envers “La Force agathoise 2026”

Après le géniteur, le célibataire. Jean-Marc Bentajou a en efficacité annoncé que son processus, “La Force agathoise 2026”, avait déniché son pied-à-terre de pâturage sur le culminant de la rue de l’Amour, là où se incarnait un départ il y a davantage une paire de années.
Après une paire de épreuves de rétablissement, la énergie sera inaugurée a priori le sabbat 14 juin, le même guichet que la amalgame autorisée prévue au charpente Saint-Martin d’un discordant ambitionnant, Thierry Nadal. Une dépêche moment dans lequel la sollicitation de Jean-Marc Bentajou, que l’on a vu s’visualiser récemment aux côtés de la égérie régionale Les Républicains Géraldine d’Ettore, surtout aux cérémonies du 8-Mai, ou d’une discordant candidate dissidente du Rassemblement habitant, Fabienne Varesano, lorsque du festin de pugilat du vacance récent. Sans qu’il entaille sûrement en déterrer une innocent aboutissement à ce niveau…

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