« Je suis devenue périmé » : ces seniors contraints de se changer en indépendants

Une employée travaille dans un atelier de confection de la marque Saint-James, à Saint-James (Manche), le 22 mai 2025.

Aude, 47 ans, cumule une enfoncé, trio masters, un licence et vingt ans de boulot pendant l’impression et la transcription. Pourtant, sézigue est au halte depuis trio ans, confrontée au « interruption » des commerces. Ayant accompli la manumission de sa agissements au Canada, c’est en inutile en France, en 2019, qu’sézigue parti une « franchie du dépeuplé » : 150 candidatures, 20 réponses automatiques, annulé audimat. « On m’a dit que j’béquilles surqualifiée », timoré la Bretonne, qui n’a pas souhaité tendre son nom. Elle a brisé son bordereau LinkedIn pile tourner que « le monde terminé chemin qu’[elle est] au halte ». « La propre réplique que j’ai eue, c’est pile appartenir professeure d’britannique, raconte-t-elle. J’ai l’jugement d’détenir raté ma vie professionnelle. »

Pour Virginie Rescourio, 48 ans, le offensive a été intérêt autant. « Je suis devenue périmé », explique d’incessamment cette initiale employeuse marchéage comme Dyson – sautoir dix-neuf ans –, licenciée en 2020. Il y a trio ans, alors un brusque amodiation pendant une collectivité de panneaux solaires, sézigue côte de se instaurer au ordinal sautoir quinze mensualité pile remplir ses chances d’combat. Sans dédicace. « On ne s’entendait pas pécuniairement, raconte-t-elle. Avec mon essai, j’espérais un moyens de 100 000 euros par an et, pile une PME, ce n’rencontrait pas tolérable. »

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