Jeu de boules : “T’es pas mal dans les pruneaux, mais aux boules, t’y comprends rien”! La lumière Marco Foyot raconte le charge qui lui a fermé les portes de la élection

A 72 ans, Jean-Marc (dit Marco) Foyot en a aussi à satiété en dessous la commande. Le Parisien installé à Aix-en-Provence n’a positivement pas passé de taquiner aux boules – il va épauler au Mondial La Marseillaise, du 4 au 9 juillet, qu’il a déjà remporté à six reprises pénétré 1974 et 2002 –, aussi moins de rapporter des documents. Dans un patricien renommée à L’Doté, celui-là que l’on surnomme “la légende” est faveur sur un demi-siècle de intrigue, et sur sa comparaison tempétueuse pour la Ligue française de jeu de boules et jeu occitan (FFPJP), où il est persuadé qu’il “gênait” contraires hommes.

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Il revient singulièrement sur sa risque à l’magnitude de l’peloton de France : “J’ai été mis au placard pendant vingt ans avec Fazzino (Thierry), on ne faisait plus les Championnats du monde alors qu’on était encore très bons. Mais bon, c’est vrai que je me suis pris la tête avec le sélectionneur à l’époque. Un type d’Agen, avec un accent naze. Le type bossait dans les pruneaux, crus, avec noyaux, sans noyaux. Il était excellent là-dedans.” Marco Foyot raconte qu’en conséquence son inédit Mondial en 2000, où il est “le meilleur joueur du championnat”, il pense essence nominé l’cycle suivante. Mais non.

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S’ensuit, afin climat davantage tard, une comité aux Arènes de Nîmes : “Le champagne avait coulé à flots, j’étais chaud. Je discute avec le sélectionneur… Je lui ai dit : ‘Je pensais que t’étais un bon mec jusqu’au moment où j’ai appris que tu ne voulais pas me sélectionner. Ton problème, c’est que t’es pas mal dans les pruneaux, mais, aux boules, tu n’y comprends rien, t’es nul à chier.’ Bon, ça n’a pas dû m’aider. Il ne m’a plus jamais sélectionné.”