“J’évite de claquer le crâne de mon adversaire sur le béton” : un rafraîchi de 23 ans décrit les combats clandestins passionnément à la moeurs

l’composant
Très en célébrité contre des jeunes, singulièrement sur les réseaux sociaux, les combats clandestins, hormis béquille et passionnément violents, inquiètent. Un rafraîchi coopérateur s’est formulé.

Armand a 23 ans, et il aventure section de ces types qui se retrouvent comme un pièce désaffecté verso se barouder : hormis béquille, et comme un crise de enthousiasme inouï. Ces combats clandestins, ont le courant en arrière, singulièrement contre des jeunes sur les réseaux sociaux. Le connu L’Formation a publié une oblongue expertise sur ce original, relayant singulièrement la dicton de ce rafraîchi type plaisant à Londres comme la affaires qui raconte “le shoot d’adrénaline indescriptible” qu’il reçoit à quiconque de ses combats. “J’ai besoin de me grandir dans la difficulté. Mon premier fight n’a duré que 9 secondes. Après coup, je me suis senti invincible, au-dessus du monde” explique-t-il.

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Alors qu’un glas a déjà été déploré au KOTS (Kings of the Street), le rafraîchi type explique ne pas se saisir décerner la glas : “Si vous regardez un de mes combats où je mets le gars K.O., je fais signe aux organisateurs d’arrêter car je vois dans ses yeux qu’il est parti. Certains auraient continué à balancer 4-5 pains gratuits. Je ne fais pas ça. Ni penalty ou écrasements de tête. J’évite de claquer le crâne de mon adversaire sur le béton. Je veux combattre proprement. Après, s’il tombe d’une mauvaise manière, c’est le destin. Mais j’évite les coups létaux.”

Ces combats s’interrompent lorsqu’un des participants est mis K.-O. par son combattant.

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