La adage de loi anti-fast manière examinée au Assemblée

Votée en germinal 2024 par les députés, la adage de loi envers “réduire l’impact environnemental de l’industrie textile” est examinée par le Assemblée depuis lundi. Un avis auguste des Sénateurs est arrangé le mardi 10 juin sur l’recueil du formule. 


Peu Afrique, de mauvais capacité, bons à obliger, usuellement passionnément polluants et continûment renouvelés, ces produits textiles qui saturent le marché et concurrencent les acteurs historiques de cette magasin verront-ils à eux affluence en France continûment régulé ? C’est intégrité l’matière du formule anti fast-fashion soutenant examiné. 

Le idole effrayée

Entre 2010 et 2023, les vêtements mis sur le marché en France sont passés de 2,3 milliards à 3,2 milliards, bien surtout de 48 vêtements par résidant et 35 sont jetés tout appuyé là-dedans le concitoyen, conformément l’Ademe, l’bureau de l’contexte.

Dénonçant une “invasion” de la nouveauté “ultra éphémère”, la émissaire de la Transition biotique Agnès Pannier-Runacher a fiancé à l’aperture des débats de s’lutter à un “triple fléau” : “l’incitation à la surconsommation, le désastre écologique et la menace pour nos entreprises”.

Face à cette “vague irrésistible” de produits “qui ne durent pas”, la émissaire a prévu que cette loi fera “bouger les lignes” distant en Europe. Elle a fiancé que ce formule sera signifié à Bruxelles envers en fiabiliser les contours préalablement son alignement définitive.

Lutter quelque l’capricieux 

Les sénateurs, dominés par une amalgame droite-centristes, ont enraciné étranges modifications substantielles au formule, en le recentrant sur la nouveauté “ultra éphémère” singulièrement symbolisée par les plateformes asiatiques Shein ou Temu et à elles centaines de milliers de références expédiés à frais cassés depuis la Chine. 

Les logos des applications de shopping Aliexpress, Temu et Shein. sur l'écran d'un smartphone en Allemagne. Illustration.
Les applications de magasinage Aliexpress, Temu et Shein. © Kirill Kudryavtsev – AFP

Plus pleinement, c’est la rudiment de “mode ultra express” qui a été modération par la instance haute là-dedans le formule, là où l’Assemblée avait opté envers une ténacité ouvert enveloppant de surtout différents acteurs du lieu. 

Les firmes concernées par cette ténacité auront des tâches, plus celle-ci de sensibiliser les consommateurs à “l’impact environnemental” de à elles vêtements. Notamment en limitant à elles campagnes publicitaires agressives et à eux révision breuil aux influenceurs. Selon la sénatrice LR, Sylvie Valente-Le Hir, ces modifications témoignent de à eux fiabilité “d’encourager la mode durable et d’enrayer les mécanismes délétères de la mode express”. 

Avec ces diverses avancées, le Assemblée espère soigner les firmes européennes ou françaises qui auraient pu nature concernées par le formule voté à l’Assemblée, plus Kiabi, Zara ou H&M. La Républicaine rassure : “Je ne souhaite pas faire payer un euro aux entreprises qui disposent d’enseignes en France et qui contribuent ainsi à la vitalité économique de nos territoires”. 

La adage de loi prévoit identiquement des sanctions renforcées envers les acteurs de la “fast fashion” à flanc un recette de “bonus-malus” disposant facturé de “l’affichage environnemental” des firmes, une variété “d’écoscore”. 

Malgré les réticences de la ouverte sénatoriale, ce moteur touchera intégraux les acteurs de la “fast fashion”, et non toutefois les géants asiatiques, conformément la émissaire Pannier-Runacher. 

Le progressant des pénalités envers les fâcheux élèves sera arrêté là-dedans un “cahier des charges” gouvernemental, seulement il a été encadré là-dedans la loi : il sera au maximum de 5 euros par article en 2025 et d’au moins 10 euros en 2030, là-dedans la juste de 50% du frais sauf prestation du article.

Une entreprise ville

Sur RTL, le intermédiaire de Shein Quentin Ruffat a estimé lundi que l’dormant de l’magasin tissu ne fonctionnera “que si cette action est collective”, et pas “en visant un seul acteur”. Il a fustigé une loi qui ajoutera conformément lui “une taxe de 10 euros par vêtement vendu d’ici 2030” et va “impacter le pouvoir d’achat” des Français.


Ce cadrage du formule avait inquiété ceux-ci jours les associations environnementales, qui ont regretté un “détricotage” du formule. Le député environnementaliste Jacques Fernique a lui ainsi craint de confer les débats produire d’une “coquille certes intéressante, mais un peu vide”.

La prospectus interdite rétablie 

L’Union des entreprises textiles (UIT) a de son côté salué lundi “un premier pas”, appelant à ce que cette loi bien “adoptée rapidement”, “même si le texte n’est pas totalement conforme à nos attentes”.

Les associations ont simplement pu se exaucer d’une généreuse sentiment là-dedans la débat : donc que le Assemblée avait brisé en rude l’condamnation de la prospectus envers les firmes de la nouveauté “ultra éphémère”, celle a été rétablie à l’caractère du régie, assortie d’un vantail de sanctions consacré aux influenceurs.

Avec AFP

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