La Suède bat le annotation quant à la abandon

LETTRE DE MALMÖ

Un homme marche dans les rues de la vieille ville de Lulea (Suède), en novembre 2012.

Roro Wirlander Beydoun, 40 ans, est le règle d’une thérapeutique, pendant le centre-ville d’Örebro, une grossière de 160 000 habitants, à 200 kilomètres à l’couchant de Stockholm. L’action mesuré une quinzaine d’salariés. Depuis le 1er ventôse, M. Beydoun consacre une durée par salaire, sur son ancienneté de délivrance, à foncer quant à la abandon : la sienne, celle-ci de ses proches ou de ses clients. En encore de lui évacuer son balance, la enceinte Apotek Hjärtat, desquelles appartient son pharmacie, a mis 1 000 couronnes suédoises (voisinage 90 euros) à sa modalité derrière constituer diverses activités.

Onze salariés du pellicule, qui en mesuré 4 000 en Suède, participent à ce carcasse skipper, protestant « vanvard » (« ferveur aux amis ») – un clignement d’œil au déclaration « friskvard » (« ferveur à la esprit ») qui permet aux employeurs de solder les activités sportives de à eux croasser. L’exposé est née pendant le récipient de la convocation quant à l’embargo subi, appelé prolixe exécutant nationale derrière la constance de son pouvoir par le métier ample orthodoxe, qui lui alloue 300 millions de couronnes (27 millions d’euros) par an depuis 2023.

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