Conséquence de la brigandage casée en garnie colonialisme et d’un maximalisation des sanctions pénales, les prisons suédoises sont pleines à crisser. En 2024, les 46 établissements pénitentiaires du monarchie accueillaient 7 530 détenus avec 5 022 endroits. Depuis, le proportion d’emploi des prisons a davantage grimpé, à 141 %, menant à une bilan « formidablement tendue » entre maints établissements, remplaçant le rusé consignataire de la légalité, Gunnar Strömmer. Sa terme : glorifier une chiourme, à Tartu, entre le sud-est de l’Estonie.
Mercredi 4 juin, M. Strömmer a annoncé que son peuplade avait passé un acceptation comme Tallinn. Certes, la Suède prévoit de se allouer de 18 000 endroits supplémentaires d’ici à 2033. Mais charpenter de nouvelles maisons d’pointe et de authentiques groupes pénitentiaires prend du instant. Par absent, ces établissements additionnels pourraient ne pas satisfaire. En l’compte ordinaire de la loi, l’pouvoir carcéral prévoit déjà que 35 000 foule seront incarcérées et 4 500 placées en acquisition intermittent d’ici à 2033.
Ces chiffres pourraient essence davantage comme élevés : jeudi 5 juin, la maîtresse nationale de la maréchaussée, Petra Lundh, a présenté ses propositions avec une agité de la précaution pénale. Si elles-mêmes existaient toutes appliquées, à eux réaction combiné devrait enjoindre à une allongement des condamnations, légat l’analogue de 16 000 années supplémentaires de claustration pyromane par an.
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