
Après la prélude du maquette de amélioration de la bazar aux légumes par le échevin Bernard Plano, les élus de l’dégoût ne sont pas convaincus.
“Nous devons donner force et vigueur au marché de Lannemezan”, ont bulletin les élus de l’dégoût postérieurement la prélude, par Bernard Plano, le échevin de la préfecture, du maquette de amélioration de la bazar aux légumes. Bien que les places nécessitent une adoucissement, Laurent Lages, Philippe Lacoste, Sylvie Ortéga et Joël Mano ont scandé la dialectique d’cheminer davantage lointain et ont endurci la justificatif des points à corriger, regrettant, une jour davantage, d’participer mis précédemment le fable complet : “Il s’agit d’une présentation équivoque. Joël Mano a en effet participé à la réunion, mais il n’a été question que de la présentation du projet défini avec le CAUE. Cela a été présenté comme un projet dans le cadre de l’instance municipale, mais cela montre surtout comment est gérée la mairie, de manière unilatérale, sans concertation avec le collectif qui s’était mobilisé. On traduit un comment sans évoquer le pourquoi, car le sujet n’est pas juste l’état de la halle, mais surtout ce à quoi elle sert.”
C’est ainsi au-delà, sur la affermi du marché, que les élus de la minorité ont souhaité arranger le concile : “La question qui se pose, c’est le rôle que joue ce marché autour de cette halle.” C’est ainsi la arrangement des places, envers les commerçants regroupés sur la affermi du Château depuis le covid, que les opposants contestent : “Aujourd’hui, cela pose un réel problème de dynamique, et le marché continue à décliner en termes d’affluence et de chiffre d’affaires, et repose la question de la place économique que la halle joue dans le marché. Le covid terminé, il aurait fallu réinstaller les camelots place de la République, ce qui n’était visiblement pas le choix de la municipalité. Il est essentiel de collaborer avec toutes les parties prenantes pour favoriser le retour des commerçants et relancer l’affluence, et tout cela ne peut se faire sans les acteurs des halles où il ne reste qu’une poignée de producteurs. Nous devons en retrouver autour de l’église, ce qui était le cheminement naturel. Ce projet ne peut se limiter à un simple plan de masse sur papier, nous devons remettre le marché place de l’Église.”
L’dégoût billet ainsi la hôtel de ville à se distinguer sur la redéploiement intacte de cet étendue : “Ce n’est pas une lubie de notre part, tout cela se travaille et se planifie, et cela ne se décrète pas. Il ne faut pas que ce soit le fait de quelques personnes, car, pour nous, le projet ne coche pas toutes les cases qui permettraient à la halle de reprendre sa place au cœur du marché qui rayonne depuis très longtemps et qui doit redevenir un espace d’échange culturel et commercial, mais aussi de lien entre les personnes. Sinon, il disparaîtra, et ce serait un appauvrissement considérable pour le territoire. Nous devons l’empêcher de péricliter.”
“Il n’y a pas de pilote dans l’avion de l’organisation”
Laurent Lages a identiquement estimé que le médiation, les distances compris les commerçants, n’réalisaient pas respectés, un adversité escortant lui : “Il n’y a pas de pilote dans l’avion de l’organisation de ce temps fort de la ville, rien n’est défini. On est d’accord qu’il fallait rénover la halle, mais il faut aller plus loin. Nous constatons que ce n’est pas une priorité pour la mairie, alors qu’il faut redonner vie au marché et que la halle est l’élément central qui peut permettre d’y arriver.”
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