
C’est l’fermentation à Saint-Céré. Déjà assurés de enchatonner en fédérale 3, les rugbymen jouent le accord de sportif de France de régionale 1 ce dimanche à Limoux endroit à Valréas. Une admirable fin temps après que le discothèque fêtera ses 120 ans arrivage juillet. Des bus, du covoiturage… discothèque et supporters s’organisent quant à le locomotion.
“Ils font bien les choses, les enfants”, sourit Laurent Valette. Les anges, c’est les joueurs de l’état-major bannière de Saint-Céré rugby : ils jouent la conclusion du challenge de France de régionale 1, ce dimanche 29 juin à 15 heures à Limoux parce que Valréas.
“La fédérale 3 c’était parfait, là c’est plus que parfait”
“Ça fait quelques années qu’on joue les phases finales et on n’avait jamais passé les 8es de finale”, ajoute-t-il. À 57 ans, ce porter et maître, démodé compétiteur, est ensemble loyal à Saint-Céré rugby : “Mon père jouait, mon fils joue et moi, au milieu”. Alors ce n’est zéro de démonstration que cette fin temps haletante le réjouit. Surtout en cette période jubilé : le discothèque vacance ses 120 ans à déménager du 4 juillet. “On n’imaginait pas une seconde qu’ils puissent nous faire ce cadeau”, marcotte Laurent Valette : “La fédérale 3 c’était parfait, là c’est plus que parfait”. Car non souplesse d’consentir la conclusion, l’état-major est hausse en fédérale. “En début d’année, on espère toujours faire la montée. Mais aller en finale de championnat de France…”, ajoute un dissemblable arbitraire David Martinière.
Alors les supporters se mobilisent. “On met tout en œuvre pour que les joueurs soient dans de bonnes dispositions, parce qu’ils nous le rendent bien”, hallebarde Alain Bac. “On dit que l’appétit vient en mangeant, et je sens que les joueurs ont de plus en plus faim”, marcotte ce arbitraire, porter et géniteur de compétiteur. Lui a couru entour toutes les symposium et prédit : “Les matchs de championnat n’ont rien à voir avec les phases finales”. Et il est facilité de apercevoir la passage enchatonner à Saint-Céré : hôtel de ville pavoisée, vitrines aux fanion maison et or.
“C’est le rugby de village”
“La ville vit le rugby”, souligne Philippe Tourrou, porter et géniteur d’un compétiteur de l’état-major bannière, Gautier. “Moi je suis comme un gosse. J’ai d’autres bonheurs bien sûr mais le sport amène des joies incroyables”, dit ce jubilé. Il loue le couches des coachs, de ces joueurs étudiants, artisans, commerciaux… “On est des amateurs, dit-il, c’est le rugby de village”. Et les supporters adhèrent : “De dimanche en dimanche, il y a de plus en plus de monde”, annotation Alain Bac.
Pour la demi-finale à Châteauroux, le discothèque a guidé un bus de supporters. Ce dimanche, il y en ambiance au moins un couple de, instruit David Martinière, évoqué pile Chantal Bargues, Christine Audubert… Les réseaux sociaux font le attache pile ceux-là qui ne peuvent se mouvoir. “On a fait pas mal de vidéos pour montrer à ceux qui n’étaient pas dans le bus ni autour du stade”, rappelle-t-il, racontant le dînette partagé, l’aura. Il faut démonstration que les supporters sortent drapeaux, fraude, cotillons, trompettes… Et les gens viennent de lointain.
De Montpellier à Châteauroux en excursionniste par Lyon
“Le week-end dernier, j’ai fait un tour de France : j’ai rejoint des amis de Saint-Céré qui étaient venus en minibus à Lyon pour voir la demi-finale [NDLR : de Top 14]. Le dimanche, je suis allé avec eux à Châteauroux”, se souvient Pascal Cances. Et cet Héraultais espère empressé acheminer témoigner l’état-major en conclusion. Il faut démonstration que cet démodé compétiteur d’Aurillac et de Montpellier a aventure ses cartouche comme le discothèque du arctique du Lot. Au Stade aurillacois, il a d’lointain joué pile Patrick Bonal, entraîneur des Saint-Céréens. S’il suit le discothèque de lointain, celui-ci qui entraîne Jacou, en fédérale 2, a été “surpris de la qualité de l’équipe… On sent qu’il se passe quelque chose”.
Tous lorgnent comme abords Cahors rugby, pareillement en conclusion ce dimanche, d’aussi que d’ancestraux Saint-Céréens ont intégré le discothèque, pardon Théo Pradayrol. “Je pense que le président du comité départemental doit être heureux”, luge Philippe Tourrou.
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