Les laboratoires pharmaceutiques de moins en moins séduits par le marché gaulois

Dans une usine de la multinationale pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK), à Saint-Amand-les-Eaux (Nord), le 3 décembre 2020.

La France décroche. A un duo de mensualité de la comparution du adjacent prévision de la Assurance sociale, qui s’poster délicat prévu attaché du manque des trésor publiques, les laboratoires pharmaceutiques s’alarment de la déprédation d’attractivité du marché français. 64 % d’pénétré eux écartent la conjecture d’y installer pendant les triade prochaines années, remplaçant le altimètre annal de l’attractivité de la France, présenté ce mardi 17 juin par le LEEM, l’planification professionnelle qui représente les industries du cachet.

Les Big Pharma, qui doivent habituellement guerroyer pour des maisons mères étrangères alors des arbitrages financiers, sont les davantage pessimistes. Elles sont 69 % à voir peu, vraiment énormément peu permis, d’installer pendant l’Hexagone au leçon des triade années à naître, quant à toutefois 50 % des petites et moyennes industries.

La France ne privation toutefois pas d’atouts. Avec 35 milliards d’euros de dépenses pharmaceutiques annuelles, bien 516 euros par hôte, l’Hexagone est le moindre davantage corpulent marché du cachet d’Europe, après l’Allemagne (60 milliards d’euros). Elle paru comme pendant le trois de faciès du Europe en termes d’emplois pour davantage de 98 000 employés.

Il vous-même solde 68.63% de cet passage à déchiffrer. La portée est modeste aux abonnés.

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