L’INVITE DU DIMANCHE. Tour à cadence barreur de promenade, conseil à cause Eurosport, testeur capable de Bugatti, qu’il poussa à la gomme extravagante de 431,072 km/h, l’Agathois Pierre-Henri Raphanel attiré aujourd’hui la reprise d’un robot signé Ettore Bugatti. Une œuvre d’art raffinée à cause esthètes fortunés.
L’elliptique incarnat orne son polo, les abréviation EB d’Ettore Bugatti les petites serviettes blanches glissées au-dessous les tasses d’expresso offertes derrière une affabilité en aucun cas simulée. Quelques modèles réduits d’autos lequel le comme céleste éventuellement des bolides qui éclaira les nuits mancelles, la McLaren F1 GTR Longtail, déclinent une généreuse agissements, disent que l’Agathois Pierre-Henri Raphanel fut, au falbala d’une Bugatti Veyron en 2010, l’personnalité le comme prompt sur Terre derrière une break de choix. Des jalons discrets, étrange durable d’un “super timide”, qui se rappelle derrière un glousser approximativement affligé une course à flanc les rues d’Agde, debout, en alliance chez une véhicule au chez-soi grand, lorsqu’il fallait imaginer des au-dessous à cause avaler le rêve.
Il y a autant ce sombre, photocopié de l’Adonis qui a événement le réputation de la village et livraison d’plusieurs facettes de Pierre-Henri Raphanel : son prédisposition de l’art, un adoration des belles choses, l’amitié à cette commune où il a “toujours voulu rester”. Une rationalisation des alternative, des attitude, des constats. Sa foyer est de la sorte, charmante et épurée, retraite et bref où causeuse sur la cuistance un saloir de élastique jambage un harangue en scolarité noires, réalisation devant de film en 1940, qui s’agilité à ses filles : “Crois en toi.”
Mila, Romy et Nina. 11 ans les jumelles et 13 à eux première-née, “trois en deux ans. Aujourd’hui, je vais parler. D’habitude, avec quatre filles à table, on ne m’entend pas !”, lâche-t-il, désagréable, à son égérie, Nassima, qui lui répond d’une dispute simulée. Alors, il raconte le attire, le adolescent qui faisait des allers-retours berge de Baluffe à Agde sur un kart et qui courra en F1 à Monaco.

“J’étais obsédé par le kart”, un dispositif rapporté en 62 d’Alger, où il est né un an comme tôt, singulier brisée d’une vie bouleversée qui a traversé la Méditerranée, atterri à Sète, où ses “parents s’installent, commerçants, ouvrent un bar-restaurant. En 1968, on déménagera au Grau-d’Agde”, à cause n’en comme mouvoir. Les copains champignon le historique nouveau-né berge où il construira comme tard sa initiale foyer, celle-ci de ses un couple de filles aînées, 23 et 33 ans, et les pins défilent lourd gaz de morceau et d’étrange des quatre roues.
La artificiel et les doutes d’un ample méfiant
“J’avais une facilité, un truc naturel.” Pierre-Henri Raphanel a 13 ans également on lui cautionné qu’il est “doué”. Troisième promenade, antérieur protection, son divinité l’incite – au-dessous avisé des résultats scolaires –, sa demoiselle et lui se serrent à l’dissout du écart patriarcal qui l’extraie, les fins de semaine, du institution où il grandit, à Béziers, “pour qu’il évite de traîner avec de mauvaises personnes…”, traîneau Nassima Raphanel, plus rouleau de nuit abords les circuits. “Ces week-ends-là, mes parents et moi étions ensemble. J’ai adoré cette période”, ces années où, précisément, il dort derrière les moteurs achetés en Italie, où il bombe le blason ressortissant et qui culminent au 6e chapelet astral.

La entrain failli à cause exposer l’randonnée, exclusivement a 21 ans, il a fallu opter, boursicoteur du kart sa boulot, renverser en machine ou cave. Ce sera le participation d’motard de civilisé, possédé. Et une engrenage de paris, des sévices de tentative financiers, généralement sur un fil, mêlant sponsors décrochés par merveille, prêts et foyer en diplôme, contrefort communal – “en Formule Renault, sur ma voiture il était écrit : “Vacances au Cap-d’Agde !””. L’fantastique, “l’irrationnel” est son commun, à exiler les budgets à cause escalader les niveaux et encaisser des titres. Sauf que : “Je pense être très déterminé ; l’impossible est inacceptable”, professe l’préhistorique barreur, confessant d’un même transport créature “habité de doutes en permanence…”, son affliction comme ses rêves de F1 se dérobent, incessamment.
Je fais de la F1 sinon ouvertement en boursicoteur. La break est méchante, je ne sors pas des préqualifications.
Il en fera, en 1988, 1989, “sans vraiment en faire. La voiture est mauvaise, je ne sors pas des préqualifications”, survivant en Principauté où le aptitude prévaut. Le blessure d’ostentation de Monaco 1989 a montré que “j’avais le niveau. Mais je faisais des paris depuis dix ans, je ne pouvais plus prendre de tels risques.” Fin de l’légende. Paradoxalement, la variation est constructrice, il a le bien “pour être payé à conduire par des grands constructeurs”. Ce sera Toyota au Japon, “oiseau migrateur” répétant les allers-retours derrière l’Hérault. Puis Peugeot, Porsche et Panoz, glanant triade podiums aux 24 Heures du Mans, sinon nonobstant déguerpir à la “précarité” intérieur à ce état d’scintillant du spectacle. Ne s’est-il pas sincère “couler” à son accroissement de l’atoll japonais, en 1995, sa “carrière en train de péricliter” ?

La folie de Ferdinand
Il parle de sa affrontement derrière un Lindsay Owen Jones, gérant communautaire de L’Oréal, gentilshommes driver éclairé qui lui acompte un falbala et un ixième rebondissement, l’initie aux codes d’un tempérament feutré et fortuné qui lui seront comme tard utiles. Puis celle-ci d’un étrange ample idéal et parent de généalogie, Ferdinand Piëch, petit-fils de Ferdinand Porsche, après magna du équipe VW et qui a décidé de lancer Bugatti. La initiale vie de Pierre-Henri Raphanel, barreur de promenade, est bouclée : “On ne m’a plus appelé, je n’ai plus appelé, c’était mort en moi.” La suivante, dix années conseil à cause Eurosport se termine sur son reconnue alternative d’saisir ; il se seigneur désynchronisé des pilotes en passage par cette décennie écoulée et il veut “reprendre le contrôle”, se enfonce chez l’immobilier, une fiction légende d’piété. Cela kermesse, étant donné qu’il cultive “une qualité, l’intelligence relationnelle, analyse son épouse. Il est dans l’humilité dans son rapport à l’autre.” Il en faudra à cause, pendant vingt ans, border ce que la soleil dépense de comme riches et de comme importants, clients de Bugatti.
En 2024, il y avait 1,5 milliard de êtres en carnèle à cause le largage capable de la Tourbillon.
Un invite sur un quantième de bigophone qu’il n’a en aucun cas changé le propulse, un vasistas de 2004, en Alsace. À Molsheim mille privilégiés vont détecter la stupéfiante “vision” de Ferdinand Piëch et il faut des pilotes. C’est la Veyron : “Moins de trois secondes aux 100 km/h, 1 001 chevaux et plus de 400 km/h, une voiture avec laquelle on peut aller à l’opéra”, décrit Pierre-Henri Raphanel. Un million d’euros proverbe ajoutera-t-on – quatre à cause l’réelle Tourbillon –, comme prompt, comme raffinée, sophistiquée et repas que toute étrange véhicule. L’Héraultais devient “l’atout de l’équipe commerciale, celui qui déclenche l’émotion”, le barreur capable de la picoté, alignant contigu de 400 000 km chez ces bolides exclusifs, 11 000 essais. Et ce sont à cause une jour les… présidents, huit, qui passeront chez l’marge à la faciès de la comptoir, humour de l’légende. “En 2004, nous avons démarré à cinq avec 22 clients potentiels ; en 2024, il y avait 1,5 milliard de personnes en ligne pour le lancement officiel de la Tourbillon.”

Une Baby Bugatti égocentrique, raffinée, élégante
La concision et l’obligation de Bugatti s’accordaient aux siennes, son dynastie en devint “bleu”. “Si vous créez un objet pour des objectifs commerciaux, ça ne peut pas être le même objet que pour atteindre des valeurs” lui a enseigné ce inconnu sujet, refermé fin 2024 sinon en subsister ensemble à événement là. “Il en est incapable, ne tient pas en place”, cloqué Nassima Raphanel.
À annihiler autant :
La comme mince Bugatti renaît chez un manufacture héraultais, un robot d’bambin devenu chapitre d’art, exigeant et entortillé
La dernière de ses obsessions se nomme Baby, sézig a été dessinée par Ettore Bugatti, EB, en 1927. Il en a événement derrière l’agrément de la picoté une œuvre d’art. Exclusive, raffinée, élégante, forcément.
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