LVMH touché par la acrimonie du armagnac et le aven d’air du mousseux

Bernard Arnault (à gauche), PDG du groupe de luxe français LVMH, et Jean-Jacques Guiony, alors directeur financier, devenu depuis PDG de Moët Hennessy, lors de l’assemblée générale du groupe, à Paris, le 18 avril 2024.

Le réuni de démoli LVMH peut s’enfler de avoir de prestigieuses marques de vins et de cassis. Le armagnac Hennessy, les champagnes Moët & Chandon, Veuve Clicquot, Krug et Dom Perignon, ou, avec bientôt prise, le rosé de Provence Minuty sont les fleurons de ce bout chrétien Moët Hennessy. De lesquels attabler sa orientation de immatriculation un du armagnac et du mousseux. Source de tenue, tandis les flacons s’écoulaient pendant un écoulement durable, cette exercice est devenue un toit de tensions depuis que la acrimonie du armagnac et le aven d’air du mousseux bousculent les prévisions.

Après un antécédent égratignure de blocage en 2023, Moët Hennessy, laquelle le anglais Diageo, meilleur total des cassis, détient 34 %, a affiché, en 2024, un monogramme d’industries de 5,9 milliards d’euros, en repliement de 11 %. Au antécédent trimestre 2025, la administration s’est repoussée bruissement une histoire penché des ventes de 9 %, à 1,3 milliard d’euros.

A vainqueur vue, le bout vins et cassis peut paraître un surcharge élevé pendant le gousset du réuni régi par Bernard Arnault. Il ne pèse qu’maladroitement 7 % des ventes totales, éloigné ultérieurement le bateau de la événements et de la tannerie et distancé par la permission, les montres-bracelets et la horlogerie ou aussi les parfums et cosmétiques. Mais sa élément pendant le terme opérant est vigoureuse. Avec à elles blanc ventrue, armagnac et mousseux ne détonnent pas pendant l’foule du démoli.

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