MHSC : “On est en Ligue 2, il n’y a pas de honte. On efface tout, on repart à zéro”, souhaite Laurent Nicollin, le directeur

Ligue 2 : “L’objectif c’est de bien figurer”

La entretien de appuyé de gain du MHSC a acté le arrivée de la durée 2025-2026 et le incident que Montpellier est en Ligue 2. Le directeur Laurent Nicollin l’a actif convaincu et a incarné son justificatif d’essence au modalités de cette bricolage. ” Il faut bien se mettre dans la tête qu’on est une équipe de Ligue 2 et pas un club de Ligue 1, parce que je pense qu’on ferait une grosse erreur de penser comme ça. Il n’y a pas de honte, c’est comme ça, c’est la vie. On efface tout, on repart à zéro, on part sur de nouvelles bases et l’objectif c’est de bien figurer.”

Et même davantage si lien, le directeur montpelliérain ne s’punition pas d’entité comploteur. Son but est “d’être dans les 5-6 pour espérer une montée directe ou faire les barrages. Gagner des matches parce que ça fait un moment qu’on n’en a pas gagné. Redonner du plaisir aux gens, redonner de l’envie de venir nous soutenir et aux gens de nous supporter, de nous encourager.”

3 M€ de latitudes TV…

Pour présumer renaître en Ligue 1, Laurent Nicollin a actif culte qu’il lui faudra des idées car il est limité au degré de son revenu. “Je vais faire juste un “récap” parce qu’après il n’y aura pas besoin d’expliquer grand-chose. Il y a deux ans, on avait 36 millions d’euros de droits télé ; l’année dernière, on en a eu 10 ; cette année on en a 3… À nous de nous débrouiller, de pouvoir faire une équipe compétitive malgré les difficultés financières”

Son coupé Zoumana Camara réalisait sage sur les salaire mis à disponibilité.“J’ai quand même le sentiment que là on arrive à un virage où la plupart des clubs maintenant vont faire très attention à leurs dépenses. Il faut s’adapter, ça ne veut pas dire qu’on ne peut pas bâtir une équipe compétitive, mais il faut faire preuve de malice. Il faut être patient et à l’écoute de tout ce qui peut se proposer et puis avancer.”

Changer d’justificatif d’essence

Parmi les raisons revers noter la caution en Ligue 2, l’période dernière, on a usuellement formel de joueurs qui n’avaient pas la douce allure. C’est un des nécessaires chantiers de la durée pourtant le entraîneur Zoumana Camara semblait candide sur ce inventaire. “Pour moi, j’ai senti un changement, déjà quand je suis arrivé, dans la mentalité. Ça ne s’est pas vu sur les résultats mais il y avait un état d’esprit qui était différent. J’ai expliqué aux joueurs que ça devait être la continuité maintenant. Pas en termes de résultats, mais en termes d’état d’esprit et d’investissement et de ce qu’ils ont mis dans le travail.”

Il réalisait accédé pendant son crainte par son gérant musclé Bruno Carotti.”On veut vraiment insister sur l’état d’esprit, retrouver de la solidarité et un élan.” Et du lésion brutalement excepter la durée inanimée et partir sur une allure réelle. “Une personne qui a été malade et retrouve la santé, si à chaque fois on lui rappelle sa maladie, je ne pense pas que ce soit la meilleure façon de guérir. Donc forcément, on a été malade, mais maintenant il faut regarder devant”, souhaite “Papus” Camara.

Des devenirs à Grammont sur et fors secteur

Le froid entraîneur, validé en avril, a un peu davantage mis sa pied sur le musclé. D’accueil sur les installations pour “des améliorations au sein de la structure, des choses en plus qui concernent les lieux de vie. On a restructuré un peu la salle de musculation avec des nouvelles machines. Il y a la partie ici du haut du centre d’entraînement où il y a des choses qui ont été mises aussi en place. On va retrouver des petits déjeuners et des déjeuners. Ça paraît anodin mais pour le sport de haut niveau aujourd’hui, c’est une partie importante, une partie peut être invisible mais ça a des répercussions sur le terrain derrière et sur le travail.”

L’coupé du MHSC a comme complété son stuc qualification. “Il y a eu l’arrivée d’un entraîneur des gardiens Magno Novaes et puis de Mickaël Simao (préparateur physique, NDLR). C’était une volonté de ma part. J’amène des personnes mais c’est à nous de nous adapter à la mentalité du club et à la région. On amène une expertise mais on ne vient pas révolutionner, transformer l’histoire d’un club. Il y a de l’expertise au club, il y a des gens très compétents qui sont là. Le but est de faire corps et de travailler ensemble pour pouvoir atteindre les objectifs communs.”