Bandage aux fanion “vert et noir” de l’USM tout autour du cou, Jean-Michel Baylet, en affectueux de rugby qu’il est, ne boudait pas son délassement, chahut 7 juin au phase Ernest-Wallon de Toulouse, en augure Fred Quercy et ses coéquipiers trousser le abri de champions de France de Pro D2.
“C’est un authentique exploit qu’ils ont réalisé cette saison. 2025, c’est un peu la même aventure que celle qui avait mené l’équipe de 1967 au titre de champion de France de première division”, observe l’antédiluvien mandataire.

Jean-Michel Baylet incarnait au closerie Lescure de Bordeaux, le 28 mai 1967, simultanément les Sapiacains, sur auxquels mortel n’aurait misé, ont maîtrisé (11-3) l’meute de Bègles, cependant constellée d’cosmopolites et qui jouait approximativement à la immeuble, sur la herbe girondine du phase Chaban-Delmas où officie aujourd’hui l’Union Bordeaux-Bègles.
“Cette saison-là, il y avait 32 équipes qualifiées pour les phases finales et l’USM avait décroché le 32e et dernier billet qualificatif. C’est vous dire que personne ne les attendait. C’est la magie de ce sport. En 16e, déjà, ils n’étaient pas favoris face à Romans et ils avaient gagné 9-8.”
Quillan (19-3), Brive (3-0) et Graulhet (9-6) mordront flux à flux la détritus apparence à l’meute du nautonier “Loulou” Blanc, qui deviendra un duo de années puis tard organisateur de l’USM.
Un armes fêté à la vodka citron à La Écho
“Ce dont je me souviens surtout, c’est de la fête extraordinaire à Montauban après ce titre. Ma mère (NDLR : Evelyne-Jean Baylet était la présidente de La Dépêche du Midi à cette époque) avait décidé qu’on recevrait les champions à l’agence de La Dépêche, rue de la République, avant qu’ils aillent à la réception officielle à la préfecture. On avait préparé de la vodka orange. Ils ont tellement apprécié notre accueil qu’ils sont arrivés à l’hôtel des Intendants avec une heure et demie de retard par rapport à l’horaire prévu ! Le préfet faisait connaître son impatience”, confie Jean-Michel Baylet.

Le Valencien possédé en physionomie une divers fête de amusement à Montauban, il y a approximativement 20 ans. “En 2006, l’USM a survolé le championnat de Pro D2. Lors de l’avant-dernière journée, j’ai invité le président de la FFR pour qu’il vienne leur remettre le trophée à Sapiac. À la fin du match, j’ai fait annoncer au micro que tout le monde était invité à l’hôtel du Département, raconte l’ancien président du conseil général. 5 000 personnes ont afflué dans le parc du château Montauriol. Des gens m’en parlent encore.”
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