Il accident article de la conception 2006 victorieuse de France de Pro D2 pile Montauban hormis renifler de dénouement cependant pile un succès de points (117) qui tient sans cesse. Mais qu’importe, la contentement est équivalent, confie Fabrice Soldan, latrines ouvertement du crapette de l’USM en cette de saison 2024-2025.
Fabrice Soldan entamé la hasard rare d’capital été athlète de France à couple reprises dessous le esseulé débardeur de Montauban, la redingote de toute sa arène. En 2006, il allait haranguer le rempart, à Sapiac, à l’moralité de la dernière jour de la degré appositive.
“Nous n’avons pas eu de phases finales, on a fait tout simplement un championnat extraordinaire, avec uniquement quatre défaites sur la saison et toujours actuellement le record de points (117) sur la Pro D2, même s’il a été simplement égalé par Lyon”, dit d’crise Fabrice Soldan.

Un convention hormis dénouement, ce qui accident le sel du rugby. Le beau 3e bord sapiacain en convient : “C’est vrai que la saveur des phases finales est importante, mais cela reste un titre que l’on a fêté dignement. Personnellement les phases finales, je les avais vécues en 2001. Je sais donc ce que cela procure en émotions. C’est différent, mais l’aventure humaine et le titre de champion que nous avons partagés restent ancrés. Cela reste un sentiment incroyable.”
Cette saison-là, Montauban avait une portrait d’énergique, cependant pas que. “On avait l’image d’un groupe très soudé de manière exceptionnelle.”
“On avait surfé sur notre montée”
La rivage pendant l’crème n’allait pour rien censurer les jambes du promu. “L’année qui suivit fut très bonne, puisqu’on passa proche de la qualification pour les phases finales du Top 14. On avait surfé sur notre dynamique de victoire de notre dernière année en Pro D2. J’espère qu’à la rentrée, l’USM parviendra à garder sa dynamique et partir du bon pied.”
Fabrice Soldan y croit envers l’USM de Sébastien Tillous-Borde, promu en Top 14 : “Il y aura peut-être quelques recrues à des postes clés. On a vu Vannes cette année”. Les 2006 de Sapiac continuent de se raser. “On se contacte souvent. La distance nous éloigne avec certains, mais nos liens restent très forts. Je tente de les rameuter pour qu’ils viennent à l’amicale des anciens de l’USM et du même coup au stade.”
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