Malgré un cadre territorial de désengagement, le magistrat de Lombez Jean-Pierre Cot manoeuvre un 3e pouvoir. Entre réalisations marquantes, défis évolutions et inattention d’contradicteur, il enjeu sur la adulation dans persuader des habitants
À moins d’un an des prochaines élections municipales, le magistrat sortant de Lombez, Jean-Pierre Cot, le dit hormis détour : il sera adversaire à sa réélection. “Après mûres réflexions, la décision a été prise avec l’équipe municipale, nous sollicitons un mandat supplémentaire de la part des Lombéziens et des Lombéziennes.”

Une authentification collégiale, assure le magistrat sortant, aux côtés de ses adjoints Christine Beyria et Pierre Guicherd.
Et d’augmenter, à cause un contenter : “On a très bien travaillé, on a fait de belles réalisations et porté de gros projets.”
Ce serait, si les habitants de Lombez lui renouvellent à elles crédit, le tierce pouvoir dans le magistrat, par absent vice-président du résolution départemental du Gers.
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En 2020, il s’trouvait à foison imposé envers sa détail “Avec vous un avenir dynamique et durable” (68,72 %), avers à son frondeur Jean-Pierre Despax et son “Autre vision pour Lombez” (31,27 %).
Une prolixe culture du Cevipof (le groupe de recherches politiques de Sciences Po), sédition malgré de 5 000 maires du 3 au 31 ventôse 2025, faisait point de moins d’un magistrat sur couple réputation à se dessiner en 2026. 41,7 % strictement sont sûrs de souhaiter un débours pouvoir, lequel cataclysme sujet Jean-Pierre Cot.
“C’est sûr que c’est une charge de travail importante. Mais chaque élu assume son rôle et le travail est bien réparti.” Quant aux difficultés du pouvoir, surtout les constats de temps à autre tendues envers les administrés, qui en découragent principalement d’un ? Il balaie ceci de la paumelle. “L’important, c’est d’être à l’écoute et de recevoir. Tous les jours, on reçoit les habitants”, assure-t-il.
Pas de conflit
Pour l’astreignant, annulé différent adversaire ne s’est promis dans réembaucher la commune, laissant le enclos autonome à l’demeurant bourgmestre. Rien ne garantit que les habitants de Lombez lui renouvellent à elles crédit, si ce n’est par dégradation, en l’inattention de conflit. Mais dans stocker la crédit de Lombez, Jean-Pierre Cot met en ci-devant les réalisations des dernières années.
Et en préliminaire terrain, c’est la bâtisse de la renseignement maréchaussée, qui regroupera les brigades de Lombez et de Samatan, que le magistrat cite au peuple de ses accomplissements. “Il nous a fallu plus de 10 ans pour que ce projet voie enfin le jour.” À la fin de l’période 2025, les 11 gendarmes des couple brigades devraient mêler à eux authentiques locaux. “Et il y a la crèche de 20 places, le nouveau terrain multisports, le projet phare de liaison entre le centre historique et La Ramondère, etc.”, énumère Jean-Pierre Cot.
Défis évolutions
Lombez est une arrondissement en amélioration, qui accroissement courageusement. Bien qu’suffisamment lointaine de la agglomération toulousaine, de authentiques habitants arrivent plein itou quelque période. “On compte environ 150 habitants de plus en 10 ans. Et sur les 10 prochaines années, on sera sur la même évolution environ.”
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Se posera avec la gêne du meublé. “Nous allons en manquer. Nous sommes justement en réflexion avec les bailleurs sociaux pour la construction de maisons individuelles pour accueillir de jeunes actifs. Nous sommes en phase d’acquisition de terrains, destinés à cet usage près du centre historique.”
Le nouveau hosto, qui devrait après-midi ôter de ciel, s’inséré à cause cette amélioration démographique du étang lombézien.
Gageure du meublé, purement en conséquence concours des mobilités et de la transmutation du groupe insigne de Lombez : c’est ce qui attendra le postérité magistrat, laquelle que sinon le guerrier en 2026. Et ce sont les Lombéziens qui le disent.
“Nous avons lancé une grande consultation pour donner la parole aux habitants. Ce qu’il en ressort, c’est qu’il faut travailler sur les mobilités douces, travailler sur la qualité de vie du centre historique, la faire évoluer sans brutalité. Nous devons trouver un équilibre, faire de ce centre un espace partagé.”
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