Municipales 2026 : le spacieux spectacle de Jean-Luc Moudenc qui entend attaquer comme “l’extrême gauche qui est le principal danger pour Toulouse”

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Le bailli de Toulouse a catastrophe un spacieux spectacle de glèbe électorale, sabbat 28 juin, à la séjour Jean Mermoz à Toulouse envers arroser les six ans de sa prise. De luxuriant élus de la masse, des élus métropolitains et de luxuriant militants ont répondu cadeau à ce “Grand rassemblement”.

Le “Grand rassemblement” souhaité par le bailli de Toulouse et directeur de la Ville Jean-Luc Moudenc, quémandeur à sa réélection aux municipales de 2026, a recruté limitrophe des centaines de individus, sabbat 28 juin, à la séjour Jean Mermoz, envers copieusement des fervents militants. Avec une demi-heure de temporisation sur l’programme débutant, le allocutaire patientant bercé par les tuyauteries de Claude François ou Mylène Farmer, le bailli sortant a catastrophe une acceptation entier en doctrine et enregistrement, monsieur de franchir la séjour de 1 000 parages, aux un duo de étranger absolue, en deçà les applaudissements et les encouragements.

“L’opposition, ce sont des guignols”, peureux un bailli de part

En attendant l’rattachement de Jean-Luc Moudenc et de son check-up, contraires élus ont accueilli la réflexion envers imprimer à boulets rouges sur l’antipathie municipale et le représentant LFI François Piquemal, quémandeur à la commune de Toulouse. Un coulée de capitaux a fusé sautoir alors d’une demi-heure, éludant les mises majeurs de la glèbe électorale de la étrangère état de France.

“Ce sont des guignols, a lâché le maire de quartier Olivier Arsac. En 2020, ils nous ont fait croire avec Archipel qu’ils révolutionneraient la politique avec des pratiques vertueuses. Qu’ont-ils fait ? Ils avaient promis de ne pas cumuler les mandats, ils ont cumulé […]” Et l’élu de poindre sur spacieux barricade une fable marquant le représentant LFI intéressant l’coucou “alors qu’il avait promis d’aller siéger à Paris en train”.

“Nous ne voulons pas de mélenchonisme au Capitole”

“Nous ne voulons pas d’un mélenchoniste au Capitole, a déclaré la 1re adjointe au maire Marion Lalane de Laubadère. Pourquoi ? Parce que Toulouse mérite mieux que ces agitateurs, mieux que des postures, des slogans creux, les Toulousains méritent du concret, du courage, de la clarté.”

La moment du 28 juin n’a pas été mignonne au fortune par le bailli de Toulouse, c’est le lucarne de son suffrage en 2020. L’antipathie municipale est parmi la arête de mire d’une “campagne de caniveaux”, a-t-il décrit en deçà les applaudissements : Et de mot-valise : “L’opposition municipale, et je suis attentif à tout ce qu’ils disent, car ils parlent beaucoup, elle s’est fait remarquer par la construction d’un alliage entre le vide et le bruit […] En guise de propositions, des généralités très vagues, des projets présentés comme nouveaux alors que nous les avions déjà réalisés, des promesses coûteuses, des gratuités à foison, mais sans démonstration de leur financement”. Enfin, Jean-Luc Moudenc considère que “le principal danger pour Toulouse est la France insoumise […] On est loin du socialisme républicain et gestionnaire”. Le ton est donné.

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