Municipales à Tarbes : puis le décrochement de à eux délégations, Elisabeth Brunet et Marc Andrès taclent le magistrat

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Elisabeth Brunet et Marc Andrès, quelques conseillers municipaux délégués se sont vus rayer à eux délégation par Gérard Trémège, au regret qu’ils “suivent” Pascal Claverie. Les intéressés s’en offusquent et réagissent.

La “sentence” est chute. Comme il l’avait annoncé, Gérard Trémège a rejeté ceux-là de son troupe qui partent fesses Pascal Claverie, son ex-premier supplémentaire, qui a annoncé sa postulation aux prochaines municipales, en à eux retirant à eux délégation. Depuis le moderne lutrin communal, la tour est actée, Elisabeth Brunet et Marc Andrès ne sont avec conseillers municipaux délégués, l’une à la rénovation biologique, l’hétérogène à la hérédité et aux modes de disgrâce amoureux. Manifestement, ils ne l’acceptent pas… “Ce que je n’ai pas aimé, c’est de l’apprendre en bureau municipal, devant tout le monde, une exécution en règle comme le maire en a le secret”, fulmine Elisabeth Brunet, “j’aurais apprécié qu’il me l’annonce en privé, comme quand il m’avait rétrogradée d’adjointe au sport, fin 2023. Il avait alors pointé mon insuffisance, alors que j’étais appréciée auprès des clubs. Mais c’était pour placer quelqu’un de son camp… Ensuite, à la transition écologique, en peu de temps, j’ai pu porter des projets, certains seront présentés lors du prochain conseil municipal.”

“Une exécution en règle”

Au-delà de la formule, Elisabeth Brunet aime que c’est injuste. “Il parle de déloyauté de certains adjoints… J’ai toujours été loyale, et aujourd’hui je suis écartée parce que je soutiens Pascal Claverie. Mais le maire n’est pas candidat, il ne peut pas décider ce qui est bien pour les Tarbaises et les Tarbais. Ça me conforte dans mon engagement auprès de Pascal Claverie, la ville a besoin de son énergie, de sa compétence et d’une équipe unie.” Marc Andrès en a, lui quant à, conte les montant. Et il ne comprend pas. “Pendant 5 ans, je me suis investi chaque jour, et le maire m’a félicité à maintes reprises. Ce que je n’accepte pas, c’est qu’on dise que je n’ai pas travaillé, que je n’ai pas obtenu de résultats, c’est indigne. Il me fait payer une amitié de plus de 30 ans avec Pascal Claverie, c’est tout. J’ai la faiblesse d’être fidèle en amitié… Franchement, je suis fier des choses que j’ai pu accomplir dans le cadre de mes délégations, à l’habitat, à l’opération Cœur de Ville, à la circulation et pour la mise en place du plan vélo, auquel personne ne croyait. Et je suis encore plus fier du surnom de “Monsieur Clou” que les Tarbaises et les Tarbais m’ont donné.”

“Fiers de ce que l’on a fait”

Très remonté, Marc Andrès ajoute : “On est fiers de ce que l’on a fait, on n’a pas à rougir par rapport à certains adjoints. Le maire est entouré de courtisans, dont peu s’investissent au quotidien… Mais les Tarbais le voient… Comme on peut le voir, je retrouve ma liberté de parole et d’action, je suis chef d’entreprise, je sais agir, et je fais le faire avec Pascal Claverie. Monsieur Vélo change de braquet !” Mais en attendant, Elisabeth Brunet et Marc Andrès annoncent qu’ils ne démissionnent pas, ils restent conseillers municipaux. “Ça ne se fait pas d’abandonner…”

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