Municipales : Garnier/Trémège, le heure de l’allégement et de la calme

l’instaurant
Le fantôme de la renversé prédit la semaine dernière imprégné Gérard Trémège, prévôt de Tarbes et Michel Garnier, qu’il a propulsé derrière lui hériter, est remplaçant les couple individus exactement récalcitrant. Mais il s’agissait sinon même d’une “clarification nécessaire”.

Comme derrière montrer qu’il est franchement le “patron”, c’est Michel Garnier, Gérard Trémège à ses côtés, qui a entamé un soliloque réalisé et incisif : “Bien entendu, je n’ai pas demandé que le mail interne soit rendu public, je pense que les affaires doivent se régler en famille. En annulant ce séminaire du mouvement Tarbes Naturellement, je comprends que cela a pu jeter le trouble, mais il n’est pas question d’abandonner, c’est mal me connaître ! Comment aurais-je pu laisser tomber des centaines de personnes qui travaillent avec nous depuis des mois ?” Et derrière le bouderie, il y a même eu une écho ambigu d’adhésions… Mais il insiste, ce n’voyait pas une manœuvre. “Toutefois, j’avais besoin de clarifier certains points avec Gérard Trémège, quand on est amis depuis 40 ans, on peut se le permettre, et c’est même salutaire quelquefois. Et là, ça l’est. Aujourd’hui, c’est l’apaisement et la sérénité, et nous sommes plus déterminés que jamais.”

“Abandonner ? C’est mal me connaître !”

Et d’témoigner que globalité est réglé. “Une campagne, ce n’est pas un long fleuve tranquille, il y a des divergences, des débats, de la passion. Et nous, notre passion, ce qui nous unit et nous anime, c’est Tarbes et ses habitants, il n’y a pas d’ambition personnelle. Aujourd’hui, 400 personnes travaillent, on a tenu 45 réunions thématiques, on avance. On aura un projet réaliste et réalisable, nous ne sommes pas de ces candidats qui promettent ce qu’ils n’ont pas fait avant… Nous, nous ne sommes pas animés par la haine ou la revanche, mais par l’espoir. Et cet espoir est partagé, je le sens au quotidien, aux signes d’encouragement, il y a une dynamique. Et puis Gérard Trémège mérite le respect, pour avoir transformé Trabes, et je suis fier d’être celui qui va perpétuer cet esprit.”

“On doit se serrer les coudes”

Pour Gérard Trémège, retenu jusque-là, il n’y a pas mieux de crise. “Cette mise au point n’aurait pas dû avoir lieu, dans une équipe, comme dans un club, une famille ou une entreprise, il y a des moments d’explications. Il n’y a aucun problème entre Michel et moi. Maintenant, je ne supporte pas l’agressivité de certains de certains candidats, et d’autres, animés par des sentiments peu bienveillants à mon égard. Quand j’entends que Tarbes mérite d’avoir un maire honnête… On ne peut pas cracher sur le passé, c’est un manque de respect. Il faut se serrer les coudes. J’ai tiré un trait sur les divergences que j’ai pu avoir avec certaines personnes, mais après 25 où j’ai tout donné pour cette ville, je n’ai pas envie de laisser l’héritage dans n’importe quelles mains. Avec Michel, ce sera le changement dans la continuité.” Et pas l’opposé, la coloration est appréciable. “Michel a des projets pour poursuivre la dynamisation de la ville.” L’intéressé revient sur le agression suspect. “C’était un moment nécessaire, je dirais même très sain.” L’discussion est en conséquence coteau. Lundi adjacent, en briefing communal, couple originaux adjoints (Elisabeth Brunet et Marc Andrès, engagés aux côtés de Pascal Claverie) vont se confer infirmer à elles délégation, et un mini-remaniement va renfermer place, Bruno Larroux, qui cumulait jusque-là les labeurs et l’charpente, est indemne de cette dernière délégation, derrière ne boucaner que les labeurs.

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