“On n’y va pas pour regarder les autres” : ce night-club approuvé un cassure de doigt aux championnes de indienne synchronisée

l’fondamental
Après des titres territoriaux et occidentaux, les nageuses des “Copines de la synchro” s’envoleront en août verso les universels à Singapour. Les championnes synchronisées accélèrent à elles entraînements et cherchent des piscines où analyser. Heureusement, elles-mêmes peuvent numéroter sur la entente des locaux.

À Revel, Audrey Clerc entraîne les chérubins des écoles à distinct amusements. Mais aux côtés d’discordantes mères de ménage, lui-même retire sa turban d’enseignante sportive verso passer celle-ci de triomphatrice de indienne synchronisée. Avec Anne, Aliénor, Elodie, Céline, Caroline, Sophie et à elles entraîneur Céline, elles-mêmes enchaînent les défis de coupé.

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D’apparence, icelui de cueillir 19 000 € verso disparaître aux universels à Singapour le 3 août semblable. Mission accomplie verso les “Copines de la synchro” qui batailleront dur plus fer verso se conduire une assis.

La coach Céline, entourée des talentueuses nageuses à la piscine de Revel.
La entraîneur Céline, enceinte des talentueuses nageuses à la baignoire de Revel.
Photo DDM repro – CDLS

“C’est déjà une partie du rêve qui se concrétise”, confie Audrey Clerc. Grâce au carcasse d’sociétés, aux ventes solidaires de vin et aux aides de collectivités et de spécifiques, elles-mêmes ont bouclé à elles compte.

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Ces championnes de indienne synchronisée vendent du vin verso parrainer à elles cotisation aux championnats du monde

Un frais vantardise se dresse affamer fronton elles-mêmes : percevoir des places verso s’amener.

“Ce n’est pas évident, car nous sommes toutes à droite et à gauche”, explicite Audrey Clerc. Ces mamans aux vies apanage chargées viennent de Revel, de Toulouse, de Grenade, de Villefranche-de-Lauragais, de Pamiers… “Il faut trouver des dates en commun, et s’entraîner où l’on peut.”

Parce que affamer qu’elles-mêmes sont sûres de disparaître, elles-mêmes n’y vont pas “pour regarder les autres”. “Nous sommes des compétitrices. Il faut prouver qu’on a mérité notre place.”

La travaux forcés des piscines

Et les copines peuvent numéroter sur des soutènements locaux. Comme à Revel, où le night-club SO Revel Natation a naturellement prosterné un meurtrière verso à elles donner le pâturage racheté. “C’est bien normal de leur laisser la place”, luge Cathy Algans, la présidente. “C’est tellement génial ce qu’elles font.” Entre nageurs, on se collant les coudes.

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“C’est tellement gentil de leur part, d’autant plus que le bassin est parfait pour s’entraîner”, ajoute la baigneuse. De la précipice en infini sur 25 mètres de épaisseur, écarté privatisé verso s’amener en chant rien contester homme… Les copines en ont profité verso conduire le sujet sur à elles adroit.

“Les entraînements sont parfois courts et espacés en raison de nos contraintes à chacune”, regrette Audrey Clerc. Mais, alors ses partenaires, elles-mêmes se sont donné “un coup de fouet” et vont ensemble accorder à cause les semaines qui suivent verso installer aux championnats.

Elles conviendront à Pamiers, à Villefranche-de-Lauragais, à Revel, urbi et orbi où elles-mêmes pourront perfectionner à elles triomphe monsieur le large extrême à Singapour.

En attendant, dans nageurs, on se collant les coudes. “Le club est derrière elles”, acompte Cathy Algans. “On se doit d’êtres solidaires, en espérant qu’elles aillent le plus loin possible !”

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