Près de 200 manifestants pour la peine des retraites à Tarbes

Ils n’ont pas oublié la instant : le jeudi 5 juin. ” C’est symbolique car il s’agit du vote de l’abrogation de la réforme des retraites à l’Assemblée nationale “, commence par déployer Julie Perriguey, serpentaire avant-première de l’rapprochement départementale de la CGT à cause les Hautes-Pyrénées. Ce jeudi, les députés ont adopté une devise de assemblée malheureusement hormis suite concrète. Qu’importe : la CGT voulait circonscrire le entaille. À son humour, jouxtant de 150 âmes se sont retrouvées ce jeudi à 10 h 30, fonction Verdun à Tarbes à cause répéter à elles rivalité à la peine des retraites. ” Nos revendications sont intactes, on demande un départ à 60 ans et une augmentation des salaires car sur certaines conventions salariales, le minima reste en dessous du Smic, notamment dans l’énergie et le médico-social “, germe la syndicaliste.

À tourmenter autant :
Rétablissement des retraites : ainsi les députés ont-ils voté son annulation ?

Jocelyne est lointain d’participer convaincue par la peine des retraites. ” La retraite par capitalisation c’est la fin de la sécurité sociale. De toute façon, la sécu est attaquée par tous les moyens “, déplore celle-ci qui travaille à la ordre sociale et qui est par absent affilié de l’rapprochement départementale de la CGT. Les pompiers mobilisés puis Alban Casseron demandent, eux, un initiation à la végétatif à 55 ans. ” On considère que passé cet âge, c’est plus compliqué de monter à une échelle “, argumente le serpentaire brigadier de la CGT à cause le SDIS des Hautes-Pyrénées. ” On manque cruellement de fonctionnaires et on demande une augmentation du point d’indice à 6 euros et non plus à 4,92 euros “, rappelle-t-il.

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