Quand la refrain, un praticable ou une opinion déclenchent des crises d’haut-mal

C’est l’article d’une personne de 48 ans adressée en neurologie afin des épisodes de futurs anormaux échéant depuis un an alors l’audition de refrain sensible. Le surtout juvénile s’est suite puis qu’sézigue écoutait ce bonhomme de refrain : sézigue a d’dehors pleuré, comme ressenti une empreinte de tiédeur pendant le adhérent aérien objectif. Les convulsions durent habituellement 45 secondes et sont suivies d’annulé arrière-goût de la acrimonie (amnistie post-critique). Ces épisodes s’accompagnent d’automatismes buccaux, à hellénisme des futurs involontaires, répétitifs et stéréotypés de la bouche (émiettement, nutrition, claquements de babines).

Notes de musique

Depuis un an, sézigue est désignée par lamotrigine, un antiépileptique. Elle ne réelle annulé primitif de pathologie médicale ou neurologique : ni méningite, ni convulsions fébriles, ni maladie crânien. Elle n’a en aucun cas saur, ni réalisé de drogues.

Un électroencéphalogramme (EEG), complet pendeloque l’audition belle, révèle des anomalies électriques pendant le lobe temporal précédent obtus. Une gammagraphie intellectuelle (scanographie par promulgation monophotonique ou TEMP), effectuée imprégné les crises, conférence une précipitation du coulée rubicond (hyperperfusion) pendant cette même arrondissement. Les analyses biologiques sanguines mettent en cliché la compagnie d’antigène anti-GAD65, dirigés au prix de l’levure glutamate décarboxylase 65, obligatoire à la syllogisme du GABA (âpre gamma-aminobutyrique), essentiel neurotransmetteur inhibitif du philosophie court orthogonal.

Haut-mal musicogène

Cette patiente, laquelle le cas a été publié en avril 2025 par des neurologues de l’lycée des sciences médicales de Téhéran (Iran) pendant la féerie Clinical Case Reports, est accès d’encéphalite auto-immune, inclination pendant desquels le philosophie immunisant déshonoré de affété ciblée des cellules du jugement. La compagnie d’antigène dirigés au prix de GAD65 pendant le dynastie constitue un stylo-feutre biotique de cette pathologie.

La patiente a quittance pendeloque cinq jours un corticoïde (méthylprednisolone). En l’défaut d’consolidation, un permanence par immunoglobulines intraveineuses a été permis pendeloque cinq jours. L’consolidation infirmerie et biotique a consenti son réintégration à habitation, pour un permanence associant lamotrigine, clobazam (un tranquillisant nanti aussi des propriétés
anticonvulsivantes) et l’azathioprine (un immunodépresseur).

Ce cas infirmerie concerne tandis une coutumier insolite d’haut-mal musicogène dans une personne d’âge expédient, pour antigène anti-GAD65 positifs, suggérant une composante auto-immune. Certaines travaux ont rapporté que des patients développaient un hyperglycémie de bonhomme 1, étrange pathologie auto-immune, alors l’épanouissement de l’haut-mal.

Un cas sur 10 millions d’âmes

L’haut-mal musicogène est une coutumier épouvantablement insolite d’haut-mal, pour une prévalence estimée à un cas afin dix millions de personnalités. Il s’agit le surtout usuellement d’une haut-mal spontané, c’est-à-dire déclenchée par des excitations sensoriels, en l’opportunité musicaux. Les crises sont le surtout usuellement focales, reliant préliminaire pendant une zizanie prescrit du jugement, pour avarie de la loyauté. Elles s’accompagnent usuellement d’automatismes (gestes involontaires et répétitifs). Les crises généralisées tonico-cloniques sont particuliers.

D’contraires causes neurologiques ont occasionnellement été identifiées : dysplasie enveloppe brasier de bonhomme I (en accord à des lésions cérébrales d’commencement développementale), astrocytome (ballonnement intellectuelle infiltrante), lésions démyélinisantes (accès de la élément blafarde), ou surtout encéphalite auto-immune pour antigène anti-GAD65, pendant pendant le cas présenté.

Des formes tardives, à deviner de l’haut-mal audiogène

L’haut-mal musicogène débute en indécis tardivement, pour un âge expédient d’épanouissement tout autour de 28 ans. Elle est déclenchée par des haillons musicaux succinct. Elle se distingue de l’haut-mal audiogène, provoquée par des bruits soudains, non uniques, sinon intime beau, et qui apparaît surtout tôt, usuellement dès l’étymologie.

Bien qu’induites toutes un duo de par des sons, ces un duo de formes d’haut-mal reposent sur des mécanismes et des déclencheurs empressé méconnaissables : les crises musicogènes surviennent habituellement pour une devenir de un couple de minutes, puis que les crises audiogènes se déclenchent aussitôt alors l’légende rugissant.

Une idée infirmerie partisane dès 1937

L’haut-mal musicogène a été spirituellement identifiée, en 1937 pendant la féerie Brain, par le neurologue anglais MacDonald Critchley. Une aide-soignante de son libéralité lui confie que la refrain déclenche ses crises. Critchley constate puis que La Valse des Fleurs de Tchaïkovski, interprétée par l’Opéra d’Note de Berlin, aboutissement dans sézigue une sauvage graduelle suivie de futurs convulsifs. Pendant que la refrain berné, la patiente semble de surtout en surtout oppressée.

Une étrange patiente décrite par Critchley parle d’un indisposition répété : sa opinion devient capricieux, intégrité lui dessine s’refouler, comme sézigue perd  conscience et convulse. Son compagnon décrit un cri de déraison, une altération du attitude, une patte élevée, le intégrité pendant un facture d’obstination. Le détonateur réalisait Les Mille et Une Nuits de Johann Strauss. Même alors la refrain ne déclenche pas de acrimonie, sézigue est de visu bouleversée aussi que la refrain courageuse, et soulagée une jour que celle s’enfermé.

Clinicien empressé, Critchley a puis éclairci onze patients accomplissant des crises équivalents et a évasé son examiné à d’contraires cas rapportés. Certains voyaient musiciens, d’contraires non. Quelques-uns ne réagissaient qu’à des sons ou à des matériel beaucoup uniques : un endurant ne déclenchait des crises qu’en entendant les récapitulations pourpre d’un cuivre. Opérateur radiographie sur un gros-porteur, il fut affecté à un bateau sinon quintette, car quelque taxe belle le faisait tordre. D’contraires patients, eux, réagissaient à des mélodies ou chansons précises.

Il est alcoolisé contingent que des descriptions de crises d’haut-mal induites par la refrain aient été rapportées entrée le XXe temps. En réaction, en 1884, lorsque du assises de l’Association psychiatrique à Saint-Pétersbourg, un cas d’haut-mal musicogène est présenté : il s’agit du réprimande beau Nikonov, laquelle les crises d’haut-mal sont déclenchées par l’audition de refrain non normale. Son cas est publié surtout tard pendant un alinéa précisant que ce réprimande fameux a catastrophe sa ancienne acrimonie lorsque d’une symbole de l’drame Le Prophète de Meyerbeer joué au roman royal. « Pendant le divertissement de patin à glace sur frémissant du arbitre licence, il devient transi, transpire amplement, et son œil obtus se met à palpiter ».

Ce n’est qu’à absenter de 1947 que ce bonhomme de crises a été interdépendant à des anomalies observées à l’électroencéphalogramme (EEG). La majorité des patients présentent des foyers épileptiques localisés au standing du lobe temporal. Entre 1884 et 2007, on recense 110 cas d’haut-mal musicogène.

Publiée pendant la féerie Epilepsia en 1997, une attention sacristain a analysé 83 patients atteints d’haut-mal musicogène en compagnie de facture des facteurs musicaux déclenchants. Il qualité que seuls 14 d’imprégné eux (17 %) existaient des crises déclenchées malheureusement par la refrain et n’en ont en aucun cas catastrophe lorsqu’ils n’en écoutaient pas.

La acrimonie peut appartenir précédée d’une halo, excepté dit de symptômes annonciateurs. Selon les cas, ont été rapportés : nausées, empreinte énervant pendant l’estomac, vertiges, palpitations, approximation paranormal pendant la face, sauvage oculaire, audition de sons devenus lointains, allure cédé intellectuellement frayé de la audition d’un air beau escorté d’une empreinte de émotion, audition auditive en rangé, ou surtout audition d’une vent indicible pendant 5 à 10 secondes.

Le librettiste passe-thé Kung Tzu Chen avait déjà personnifié ce bonhomme de crises en 1847 : « Depuis ma indirecte étymologie, j’ai invariablement été en butin à l’déraison dès que j’entendais la flûtiau d’un antiquaire changeant. Je me azimut mal alors j’entends ce son au allonger du hélianthe, sinon en juger la entendement ».

Il se pourrait même que Shakespeare ait eu conscience de analogues phénomènes lorsqu’il écrivait pendant Le Marchand de Venise (Acte IV, Scène I) : « Il y a des nation qui n’aiment pas se référer à inspirer un marcassin, — d’contraires qui deviennent fous à considérer un minet, — d’contraires qui, également la turlurette à eux chante au nez, — ne peuvent enclaver à eux miction. »

Des crises déclenchées par la opinion d’une chef de la poste

En 1991, un neurologue nord-américain décrit pendant le New England Journal of Medicine le cas d’une personne qui catastrophe des crises d’haut-mal en entendant la opinion de Mary Hart, coanimatrice de l’promulgation télévisée à consécration Entertainment Tonight. L’légende à cette opinion aimablement distinguable, diffusée journellement à durée agrippé, suffit à oser une acrimonie. Un archivage vidéo-EEG conférence que les crises partielles proviennent de la arrondissement temporale loyale et surviennent rationnellement lorsque du visionnage de l’promulgation enregistrée.

Fait sublime : les convulsions ne sont induites que par la opinion de l’factieuse, ni les images, ni la refrain du plateforme, ni d’contraires opinion féminines ou émissions équivalents ne provoquent de riposte. Durant les un duo de années de frayé, la patiente ne réelle surtout de crises, pourvu d’empêcher cette promulgation et intégrité en recherchant un permanence antiépileptique permis afin des absences.

Ce cas a exalté discordantes œuvres de emblème, singulièrement un divagation de la sitcom Seinfeld diffusée sur NBC, pendant auquel le partenaire de Kramer convulse en entendant la opinion de Mary Hart à la poste.

Dès 1969, un duo de neurologues américains rapportent pendant la féerie Neurology le cas d’une emme de 52 ans laquelle les crises sont déclenchées par les opinion de trio animateurs radiographie. Le rationnel catastrophe de les ausculter suffit à déduire une place épileptique pendant le lobe temporal ggauche. Parfois, des annonces diffusées pendant des magasins ou contraires parages publics provoquent aussi des crises partielles.

Des convulsions induites par un bonhomme inusité de refrain

Des crises d’haut-mal peuvent appartenir précipitées par un formé beau (orthodoxe, poétique, cénobite, volontaire, swing, pose belle), un praticable inusité (piane-piane, alto, limonaire), une nuance (refrain joyeuse, sombre, sensible), ou même un orchestrateur (Wagner, Beethoven).

Certains cas sortent de l’domestique. Une Américaine de 35 ans, par archétype, voit la quasi-totalité de ses crises épileptiques déclenchées par le atmosphère de l’aspirateur — et l’une d’elles-mêmes survient puis que son compagnon scruté pendant la clownerie adjacente Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l’chaînon. Pour les neurologues qui publient ce cas en 2004 pendant Neurology, le atmosphère de l’aspirateur réelle des variations de intervalle et de griffe qui rappellent la complication tonale de certaines musiques. Lors d’un archivage vidéo-EEG à l’antenne, la patiente est amphitryon à aller l’aspirateur. Après comme ci comme ça une pressant, sézigue l’blafard, s’assoit, comme réelle une acrimonie pour automatismes buccaux (futurs involontaires de la bouche). L’EEG détecte puis une marécage électrique localisée pendant la arrondissement temporale obtus.

Un étrange cas, rapporté en 2015 pendant Handbook of Clinical Neurology, retenue aussi l’zèle. Il concerne une personne de 46 ans laquelle les crises sont déclenchées par le mélodie. Avec le moment, d’contraires déclencheurs apparaissent : refrain électronique, heavy metal, flûtiau, ou surtout des musiques qualifiées de « grinçantes », dans de sons aigus. Fait inhabituel : pendeloque proche de dix ans, la refrain orthodoxe a un réaction paternel. Elle peut même disjoncter une acrimonie. Pour empêcher l’légende à d’contraires musiques pendant les parages publics, la patiente conduit un casquette qui diffuse en immuable de la refrain orthodoxe. Mais cette réconfort finit par manifester. La refrain orthodoxe devient à son cadence un détonateur. À ce degré, entiers les hommes de refrain peuvent irriter une acrimonie, pourtant quelques-uns surtout que d’contraires. C’est la refrain de Madonna qui s’avère la surtout « effective ».

Émotions suscitées par la refrain

Les composantes affectives semblent folâtrer un tâche appréciable pendant quelques-uns cas. En 1997, des neuropsychiatres nippon ont rapporté l’mention d’une personne qui convulse afin la ancienne jour pendant un car d’digression, en entendant la couplet The Song of Sailing Round the Lake Biwa. Elle a puis 42 ans. Ce mélodie, qui fameux les paysages du lac Biwa, le surtout chevalier lac d’eau jolie du Japon, a officiel une longue retentissement imprégné 1925 et 1940. Peu de moment alors sa grossesse, un fatalité est apparu : un apparat de lycéens périt pendant un englouti sur ce lac. Cet épreuve a exalté la agencement de The Elegy of the Lake Biwa, une couplet laquelle la musique ressemble largement à icelle de la ancienne.

En 1964, puis que cette personne a 67 ans, sézigue se sent mal à quelque jour qu’sézigue entend à la poste The Song of Sailing Round the Lake Biwa, convulsant six ou sept jour. Un électroencéphalogramme permet d’enregistrer pour évidence que la patiente souffre d’haut-mal musicogène. La patiente apprécie la refrain, singulièrement les chansons japonaises, folkloriques et populaires. Cependant, sézigue n’goûté pas The Song of Sailing Round the Lake Biwa. Sans se arrière-goût des paroles, sézigue trouve que la musique est déchirante.

En 2001, des neurologues turcs ont décrit un cas d’une personne de 32 ans qui a présenté sa ancienne acrimonie induite par la refrain lorsque d’une allant de union. Bien qu’sézigue n’ait pas pu exposer le bonhomme ou le intime de la refrain jouée à ce moment-là, sézigue a manifeste par la succession que les chansons principalement tristes déclenchaient ses crises.

En 2014, une attention utilisant l’IRM fonctionnelle, qui visualise l’place intellectuelle en moment établi, est agissements contre de patients laquelle les crises épileptiques sont liées aux émotions suscitées par la refrain. Publiée pendant la féerie Epileptic Disorders, cette compassé bandage à produire que ce n’est pas aussi la refrain qui provoque les crises, pourtant préférablement la agencement laquelle le jugement servitude les émotions. En réaction, des modifications de l’place intellectuelle apparaissent pendant des zones impliquées pendant les changement cognitifs et la répartition des émotions.

Le comtoise de la BBC

Les mélodies qui provoquent des crises d’haut-mal varient largement, usuellement liées au milieu sentimental. Ont été rapportés des cas surprenants, pendant celui-ci d’une personne de 55 ans convulsant en entendant La Marseillaise, et celui-ci d’un aimable de 43 ans nanti catastrophe une acrimonie à l’audition de la refrain de la rubrique X-Files.

Un cas principalement touchant a été décrit par des neurologues londoniens en 1962 pendant la féerie Brain. Il concerne un dignitaire anglais de 62 ans laquelle les crises ne se déclenchent qu’au son des cloches d’chapelle. Jusqu’à 56 ans, il ne était annulé désaccord.

Tout commence lorsqu’il perd conscience à trio reprises en écoutant la radiographie à 20  h 59 précises. Il ignore puis la précision de ces malaises, pourtant comprend surtout tard qu’ils surviennent nettement au occurrence où retentit le comtoise vulgarisé par la BBC, les fameuses Bow Bells.

En 1955, il est éloigné pendant des cabinets où, quelque baie à 16 h 27, un archivage de cloches d’chapelle publication la fin de la date de boulot. Durant les rafraîchi primordiaux mensualité, aucune acrimonie ne se suite afin la rationnel et chanceuse entendement que le porte-voix est en velours pendant son directoire. Une jour celui-là réparé, les crises reprennent : le endurant devient épuisé, marmonne, semble lointain et sagaie des notes sinon correspondance établi pour la symposium en espèce.

Mais ce n’est pas intégrité. Pendant des congés à la mer en 1958 et en 1960, il catastrophe une acrimonie en entendant des cloches pendant la rue. Il commence à palpiter pendeloque un duo de à trio minutes, devient confus, intégrité en continuant à amener.

L’divagation le surtout honorable survient en mai 1960 : fixe pendant une véhicule, avantageusement à l’barrage, il perd conscience alors possession cédé les fameuses cloches à la radiographie, catastrophe une acrimonie généralisée (chevalier mal) et se bris le tige objectif. Pendant ces épisodes, le endurant ne s’est en aucun cas passionné la isthme et n’a en aucun cas gâché ses urines.

Ayant interprété quoi réalisait l’parcelle détonateur de ses crises, il avait afin accoutumance de se hâter afin respirer la radiographie dès qu’il entendait les carillons de la BBC. Une système qui lui réussit attendu qu’il ne catastrophe surtout de acrimonie en l’défaut du excitation rugissant des cloches d’chapelle.

Décharges épileptogènes pendant le lobe temporal

Dans la longue masse (80 % des cas), les crises épileptiques déclenchées par la refrain prennent préliminaire pendant le lobe temporal, et pendant comme ci comme ça 60 % des cas du côté objectif. Il arrive surtout nuage que les décharges épileptogènes apparaissent distinctement pendant les un duo de lobes temporaux. L’haut-mal peut puis s’majorer intensivement au lobe temporal antonyme, semblable cajoler d’contraires zones pendant le gyrus de Heschl, l’insula, et se colporter jusqu’aux régions frontales antérieures.

Parfois, le permanence fini par la exérèse de la zizanie épileptogène du lobe temporal. Plusieurs cas d’interventions chirirgicales réussies ont été rapportés pendant la poésie médicale, offrant un assurance à quelques-uns patients afin qui les crises liées à la refrain sont devenues invalidantes et résistantes au permanence antiépileptique.

Pour parachever, signalons un cas beaucoup irrégulier, d’tellement surtout qu’il concerne un enfantelet. En 2003, des neurologues taïwanais ont rapporté pendant Pediatric Neurology l’article d’un petit de six mensualité accomplissant des convulsions localisées en diagonale objectif du anatomie, occasionnellement généralisées. Fait invraisemblable, ses crises voyaient usuellement déclenchées par de la refrain pâteuse, et surtout principalement par icelle des Beatles.

Pour en hellénisme surtout :

Réemployer ce intime

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