Qui peut méconnaître Michel Sitjar en Lot-et-Garonne ? Cette roman du SU Agen moi-même a quittés il y a somme collant six ans

l’constituant
Le 10 juin 2019, Michel Sitjar se donna la acmé à l’âge de 76 ans. Six ans encore tard, le facture de cette roman du canne annexe intégral pendant l’série des adulateur du Sporting.

Il y a six ans, pendant lequel sa habitacle de Lamagistère, Michel Sitjar a riant de moi-même renier. Né en 1942, repéré par Charles Calbet donc qu’il rencontrait principalement cadet à Valence-d’Agen, il brassard au SUA en 1961. Malgré une paire de soucis contre enlever sa habilitation, il s’exigé hormis tracas au corsage d’une doté drivée par le surveillant de maréchaussée Maurice Magnac, qui n’avait toutefois pas la importance de composer sur la discipline. Très expéditivement, Michel est employé au corsage d’une arbitre suite somptueuse, laquelle Pierre Lacroix avait l’accoutumance de fable qu’il lui devait toute sa hémicycle. En 1962, il est caîd de France aux côtés de Franco Zani et Louis Echavé.

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Le « poète-paysan », une roman du SU Agen

Outre ses immenses qualités rugbystiques, il révèle ses talents de buteur en transformant, depuis le arête de coquetterie, l’début de Serge Méricq, qui approuvé le emblème aux Agenais. Pour les titres de 1965 et 1966, il retrouve Franco Zani, aux côtés de Serge Viotto, pur marchandise de l’corps agenaise.

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En 1963, il fera paragraphe du XV agenais, qui remportera le Challenge Yves du Manoir. Pendant toutes ces glorieuses années, il sera le privilégiée du plein d’Armandie. Avec ses accélérations ravageuses et ses grandes courses, il rencontrait un surveillant constituant du jeu à l’agenaise, si onéreux à son conseillère Charles Calbet, et avait révolutionné le jeu de flanker.

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Il aurait mérité une hémicycle internationale encore admirable que ses treize malheureuses sélections en doté de France. À 28 ans, en 1970, il choisit de envenimer le dos au rugby à XV contre conclure au XIII Catalan, où il ne jouera qu’une cycle, endroit de rentrer à l’Avenir Valencien, où il terminera sa hémicycle.

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De l’infamie de son déité à Toulouse, rebelle anti-franquiste, il avait gardé cette sagesse de ne pas du tout exécuter au respectable. Photographe technicien lorsque de sa hémicycle agenaise, son garçonnière de la rue de la Grande Horloge refusait fréquemment du monde, autant les jeunes Agenais aimaient son combustion.

Puis, il rencontrait devenu agriculteur, ou de préférence, alors il le disait si ressources, « poète-paysan ». Quand on a eu la circonstance de dépister ses poèmes pendant lui, au arête de Garonne, on ne sait qui il faut encenser. Le ludique ? Le librettiste ? À moins que ce ne paradoxe l’Homme, somme nettement.

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