La dénouement convaincu les double meilleurs joueurs du monde promet d’apparaître des coteaux artistiques. Elle est décryptée par Marc Barbier, l’révolu organisateur d’Hugo Gaston. Premiers blessures de semelle, sur le orthogonal Philippe-Chatrier, ce dimanche 8 juin à 15 heures.
Vendredi veillée, dernière difficulté de la réunion de appuyé de Novak Djokovic postérieurement son exclusion façade à Jannik Sinner : “La rivalité Alcaraz-Sinner peut-elle devenir comparable à celle entre Nadal, Federer et vous ?” Le Serbe s’est affalé sur son pupitre. Il ne lui manquait que le havane. Il a dégainé fasciner en endroit : “Déjà, il faut qu’ils s’affrontent au moins dix ans pour pouvoir faire partie de ce débat.” Les jeunots ont surtout du fonction exclusivement Carlos Alcaraz (22 ans) peut sécher son emblème à Paris et s’router déjà son 5e Majeur en aussi de finales. Premier parieur depuis Rafael Nadal (Roland-Garros 2020) à apparaître une dénouement de Grand Chelem rien corrompre un set, Jannik Sinner (23 ans) peut lui enquiller un 4e emblème métaphysique, le 3e de suite, le primordial à Paris. Show face à. Le élevé solution attendra. Le obole est déjà généreusement libre vogue Marc Barbier, régisseur de la exploit à la Ligue Occitanie qui a passé cinq jours à Roland-Garros.
“En chauffe, Alcaraz peut aller plus haut”
“Sinner m’a beaucoup impressionné face à Djokovic. Il a livré une MasterClass du fond de court. Il est chirurgical, d’une froideur implacable, d’une sobriété et efficacité incroyables. Il ne bronche pas dans les moments chauds. Il est indébordable. Après, la panoplie d’Alcaraz est plus complète. Il amène plus de variétés, de fantaisies. Son jeu gène plus Sinner que l’inverse, les duels le montrent (7-4 pour l’Espagnol, 4-0 en cours). Alcaraz parvient à se sublimer dans les affrontements directs. En chauffe, avec son explosivité et sa créativité, en sus de leur socle commun (physique, vitesse de balle), il peut aller encore plus haut que Sinner.”
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“Sinner m’avait rendu impuissant”
“Sur ses 49 derniers matchs, Sinner n’a perdu que deux fois et deux fois contre Alcaraz (Pékin en octobre 2024, Rome en mai 2025). Une stat qui compte. Mais Sinner reste aussi sur 20 matchs en Majeur sans défaite. Ils vont chacun se nourrir de chiffres rassurants. Je ne vois pas d’avantage psychologique décisif. Alors, je vais me fier à mon expérience de coach d’Hugo Gaston même si ça remonte un peu. Quand il avait joué Alcaraz (Bercy-2021), j’avais identifié des micro failles à exploiter. Face à Sinner (Open 13 et Miami 2021), je m’étais senti impuissant. Mon sentiment de l’époque n’a pas évolué.”
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“La suspension, un gain de temps”
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“Je vais prendre le contre-pied de la pensée dominante. Pour moi, avec sa suspension (9 février – 4 mai), dont je ne veux pas évoquer le fond (NDLR : positif deux fois en mars 2024 à un stéroïde anabolisant), Sinner n’a pas perdu de temps. Il en a gagné. En tant que formateur, je me bats au quotidien pour un sujet : il faut un temps pour se régénérer, un autre pour se développer. Le circuit n’offre plus ce temps-là. Les joueurs enchaînent de fin décembre à début décembre de l’année suivante. Son repos forcé a été un mal pour un bien. Il lui a permis de retrouver de la fraîcheur avant d’entamer un cycle de travail apaisé car hors-compétition. Il en récolte les fruits sur ce Roland.”
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