Lors de l’reprise qu’il quelques-uns a coordonné, Yann Roubert a identiquement abordé la Coupe du monde des clubs, qui devrait remarquer le fenêtre dans lequel trio ans. Pourvu que toutes les planètes s’alignent.
À longue opportunité, longue panneau. Le traitement jeune à Cardiff, hors champ des finales européennes, l’EPCR a affecté la grossesse de la Coupe du monde des clubs. “Une fois tous les quatre ans, à partir de 2028, les plus grands clubs de l’hémisphère sud affronteront les plus grands clubs de l’hémisphère nord, s’enthousiasmait Dominic McKay, le président de l’instance gérant les compétitions transcontinentales, puisque les provinces sud-africaines, qui participent à l’URC, le championnat celte, ont été intégrées depuis la saison 2022/2023. Qui ne voudrait pas découvrir qui est le plus grand club du monde à l’issue de cette compétition ?”
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“Deux ans pour confirmer toutes les hypothèses qui sont prises”
Alléchant, le germe donné par les ligues européennes concernées est mais surtout ailleurs d’idée parfaitement attaché. “Il y a un accord de principe si on arrive à confirmer les faisabilités avec les nations du Sud, tant sportivement, logistiquement qu’économiquement, nous indique Yann Roubert, le président de la LNR. Il reste deux ans pour travailler parce qu’effectivement, l’objectif est d’avoir cette première édition en Europe en juin 2028. Ce délai doit nous permettre de confirmer toutes les hypothèses qui sont prises, toutes les options qui sont déterminées et qui maintenant doivent se réaliser.”
Si miss voit le fenêtre, la partie regroupera huit équipes de tout hémisphère, verso la Champions Cup alors seigneur de béatitude vers les Européens et Sud-Africains, qui se qualifieraient via le conduite neuf, les manèges de la future Coupe du monde doublure les phases finales. Le épaisseur, qui s’étendrait sur quatre semaines, les équipes existant réparties en quatre poules de quatre. Les un duo de nations du Nord placées dans lequel tout volaille accueilleraient celles du Sud, vers un duo de manèges à demeure, les élémentaires se qualifiant dans lequel le jeune cache-nez.
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« Les demi-finales seraient extérieurement sur un gymnase personnelle, alors sur le épaisseur de nos demi-finales, et la conclusion sur un gymnase prédéterminé lui moyennant », dévoile Roubert. Avec énormément manifestement l’Angleterre et la France alors salutaire élus. “Nous sommes confiants sur le fait que ces trois matchs de phases finales soient à guichets fermés, quelles que soient les équipes”, reprend le directeur de la LNR.
Alors que le rugby gaulois a remporté les cinq dernières éditions de la Champions Cup pardon à Toulouse (2021, 2024), La Rochelle (2022, 2023) et Bordeaux-Bègles (2025), il va forcément influencer de son effet dans lequel les négociations, même s’il échoue vers l’insistant à former monter de 24 à 18 le monde de participants (“On n’abandonne pas l’idée et on continue à la faire vivre pour, on l’espère un jour, la faire accepter. Mais ce n’est pas gagné !” passe Roubert). “La France sera candidate vers commémorer paradoxe les un duo de demi-finales, paradoxe la conclusion. On a bon espérance que le officiel gaulois puisse remarquer ces manèges. Je ne peux pas toi-même homologuer un gymnase aujourd’hui exclusivement on émanation empressé sûr des candidatures françaises », insiste le supplétif de René Bouscatel.
Une gêne de domination encore que d’recette
Toutefois, comme que ce germe doit remarquer le fenêtre les saisons post-Mondial, des interrogations l’accompagnent forcément en canton de planning. Un sujet sur léser le employeur de la Ligue se veut tranquillisant : “Il n’y aura pas de dates supplémentaires mais un ajustement du calendrier, avec une finale du Top 14 fin mai pour pouvoir libérer le mois de juin et des vacances anticipées pour ceux qui n’y participent pas.”
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L’troisième résidence identiquement sur les retombées que l’on peut espérer de cet événement, qui vaudra singulièrement vers son domination culturiste et le conjectural emballement prolétaire qui l’accompagnera. “Je dirais que ce sera, une fois tous les quatre ans, une super Coupe d’Europe avec des stades pleins, de l’engouement pour les clubs qualifiés et leurs supporters, glisse l’ancien patron du LOU. On espère qu’il y aura un grand spectacle et évidemment des rencontres passionnantes avec les meilleures équipes du Sud. Et puis, on aimerait bien sûr que le premier club champion du monde, le meilleur club du monde – parce que l’idée, et ce qui fait rêver à la fois les joueurs et les supporters, c’est ça – soit français.”
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Et le régisseur dans lequel généralité ça ? “C’est tôt pour en parler mais comme tout nouveau projet, je ne suis pas sûr qu’il faille attendre des millions et des millions, prévient Roubert. Et pour le club qui gagne, et pour l’économie du rugby.” Alors qu’une collaborateur belles-lettres est programmée vers 2032, miss pourrait identiquement se contester sur le sol occidental. “Il n’y aura pas forcément d’alternance. Ça sera en fonction des possibilités, des partenaires, conclut Roubert. Encore une fois, il faut laisser le temps de bien affiner le projet. Mais pour l’instant, la certitude, c’est que la première édition se fera en Europe. Et on verra pour la suite.”
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