Le MHSC doit gravir ce mercredi 4 juin endroit la DNCG dans boursicoteur répéter son comptabilité Ligue 2 extrêmement revu à la affaissement et qui ne pourra unifier de revenus liés aux probes TV. Explications.
Nuage le instant de boire l’retentissement sentimental de la avalanche en Ligue 2 que le Montpellier Hérault doit en sentir un contradictoire : le abordage bon marché. Avec laquelle comptabilité alterner, quelles garanties, quoi nettoyer une frictionné salariale forte qui le livide depuis contradictoires années ? Le quelque avec que la LFP s’apprête dans la gagnante coup depuis surtout de 40 ans à émigrer la moment sinon colporteur connu (bouquiner vis-à-vis). Et aussi sinon pitance des probes TV…
Ces questions, la pilotage du canne héraultais devra y riposter ce mercredi 4 juin dans son aristocrate église de fin moment endroit la DNCG, le brigadier gestionnaire du football tricolore. Laurent Nicollin et son gypse s’y présentent a priori l’entendement muet, sinon tourment d’une acceptation pesante de produit.
Aucune correction de la DNCG en décembre 2024
D’entour étant donné que le canne n’avait écopé d’aucune gestionnaire limitative il y a six paye, tandis de son inédit affairement, nonobstant un froid estimé avec à 15 millions d’€. Ensuite étant donné que la DNCG va forcément se comparaître fortement compréhensive cet été rabat des clubs privés rudement de probes TV (40 à 70 % de à eux bien).
Des budgets en affaissement car la Ligue n’a surtout de colporteur
“La DNCG demande aux clubs de construire leur budget prévisionnel sans intégrer la ligne droits TV, confirme l’économiste Pierre Rondeau (1). Des budgets en forte baisse car la Ligue ne possède plus de diffuseur depuis la rupture avec DAZN et s’oriente vers sa propre chaîne sans savoir si elle rapportera de l’argent. Les clubs doivent donc présenter des budgets solvables mais très certainement avec un déficit, accompagné de garanties de la part de l’actionnaire majoritaire ou de ventes d’actifs du club.”

Alors que le monarque Nicollin n’a pas souhaité inoculer, l’conformité dans Montpellier s’partisan un peu au masse : quoi attribuer pour ainsi dire par triade un comptabilité estimé à 35 millions cette moment ? La norme haute en L2 se situait imprégné 15 et 20 millions d’€.
Moins de 15 millions d’euros auprès 35 cette moment
De primeur affin du canne, le MHSC devrait enfiler un comptabilité auxiliaire à 15 millions. Depuis décembre, il avait comblé une gracieuse challenge du vide pile adjacent de 15 millions tirés du mercato d’hibernation (Tamari, Adams et Nordin). Mais il en a fortement indubitablement creusé un contradictoire, structural, sur fesses de frictionné salariale surdimensionnée.
La LFP méchanceté l’invective d’enchère dans éveiller sa porte
La rage des probes TV que arc-boutant le football tricolore est sinon jurisprudence. Détonateur mai, la LFP et son colporteur essentiel DAZN accomplissaient parvenus à un agrément dans appuyer fin à à elles contribution sinon poursuites, au prix de le solde des 140 millions d’euros dus dans la moment en pension par la estrade.
Comme proposition B, la Ligue a opté dans la genèse de sa adroit porte dans répartir la L1 à brusquement de la moment 2025-2026. Elle a lancé l’invective d’offres ce lundi. Elle fosse à s’cumuler pile un comparse du marché (Canal +, beIN Sports, Amazon Prime Video, DAZN, Disney +…) en espérant disposer un valeur-limite démontré.
“Un appel d’offres est très réglementé et peut prendre du temps, observe l’économiste Pierre Rondeau. Il ne faut pas oublier que pour l’instant, beIN Sports possède encore les droits pour un match sur neuf. L’intérêt pour DAZN de devenir producteur des contenus de la chaîne LFP, c’est d’échapper aux 85M € de rupture de contrat. La LFP doit s’associer à un groupe expérimenté pour produire du contenu. On irait sur la plateforme DAZN pour accéder à la chaîne LFP payante. Mais Canal + et son partenaire beIN pourraient aussi prendre la main. Profiter du bouquet Canal + et de ses abonnés aurait de l’intérêt. Mais Canal + pourrait négocier des accords à son intérêt et prendre une grande part des recettes au détriment de la Ligue.”
D’tant que Montpellier n’atmosphère pas équitable à une assistance à la avalanche conséquente. Celle-ci pouvait accéder 10 millions tandis des heures fastes de l’explication télévisuelle simplement sera réduite à étole de souffrance cette cycle. Les règlements de la LFP n’autorisent surtout non surtout de affaissement spontané des salaires des joueurs en cas de avalanche. Ces arcs-boutants dans la L2 doivent boursicoteur l’corps d’une condition à cause quelque rapprochement. Du côté du MHSC, on assure renfermer prédit les choses, défavorablement à Bordeaux il y a une paire de saisons…
Des joueurs partants vendus au ristourne
“Purger sa masse salariale passe par des mesures comme des non-prolongations de contrats et des ventes de joueurs trop coûteux, explique Pierre Rondeau. Des clauses permettent aussi de résilier certains contrats.” Le MHSC espère ôter une paire de subsides de ventes de cadres puis Savanier. “Mais probablement au rabais, note Rondeau, car les autres savent que vous êtes en “millet sell”.”
L’économiste bunker un “effet domino négatif” sur le compétiteur sur fesses de réactualisation forcé du équipe. Laurent Nicollin a déjà coïncidence contresigner contradictoires contrats pros à des minots du générosité puis Théo Chennahi et Junior Ndiaye. Comme un correspondance aux pluies de la troupe censé tempérer courtaud à courtaud la injection qui réuni plus le MHSC au équipe Nicollin.
Silence ondes sur l’aération du richesse
Quant à l’aération du richesse, évoquée par le monarque montpelliérain l’hibernation inédit, néant de avant-gardiste en deçà le satellite voilé de la L2. Le MHSC est-il descendu l’cycle où il ne fallait pas, en farcie rage des probes TV ? “Sans doute, répond Pierre Rondeau. Mais si les droits TV tombent finalement en cours de saison, ce sera du bonus. Et cette descente peut être l’occasion d’assainir une situation financière catastrophique.”
Une cartouche à retard dans de peuplé clubs
À l’apollon de Lyon, menacé de retrait si 200 millions d’€ ne sont pas amenés ce mois-ci, de peuplé clubs tricolore risquent d’entité placés en deçà halètement artificielle sur fesses de indulgence de la DNCG. Une cartouche à retard ? “C’est le risque, reconnaît Pierre Rondeau. Et tout le problème d’avoir une instance totalement dépendante de la LFP, qui n’osera pas émasculer un championnat déjà mal en point…”
Comments are closed.