Vainqueur alors de triade étapes sur le Critérium du Dauphiné, Tadej Pogacar a une journal jour conte l’miniature de ses qualités hormis standards. Sur les antennes de la RTBF, les couple commentateurs de la parcours ont représenté les doutes tout autour du pistard slovène.
Au frontière de huit étapes, disputées depuis le 8 juin, Tadej Pogacar s’est adjugé son antécédent Critérium du Dauphiné, ce chahut 15 juin, à l’terminaison d’une dernière arrêt composée par la prise du Français Lenny Martinez. Auparavant, c’est le Slovène qui s’incarnait illustré en remportant triade étapes et en adroit sur la 6e et la 7e. En conséquence, chahut 14 juin, le triple gagnant du Tour de France est accédé quatorze secondes antérieurement Jonas Vingegaard.
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Et chez le rapporte SudInfo, les performances du pistard de la peloton UAE Emirates XRG laissent maints spécialistes sur à eux gardes. Sur les antennes de la RTBF, le journaliste compétiteur belge Rodrigo Beenkens et Cyril Saugrain, vieillot pistard technicien, ont eu l’aubaine d’vendre à elles lieu de vue à l’terminaison de la 7e arrêt. “Il a beau être dans sa bulle, il sait ce qu’il se dit, les doutes de plus en plus présents autour de lui dans le métier. Je ne parle même pas du contact avec le public, qui est partagé” a singulièrement opportun Beenkens.
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“Une promenade complète, bouche à peine ouverte…”
“La glorieuse incertitude du sport” a après ironisé celui-ci en découvrant les classements qui montraient Pogacar en figure de triade classements : mondial, de la empillement et par points. “Doutez-vous ?” a puis demandé Rodrigo Beenkens à son conseiller métropolitain. “Moi non, mais je peux comprendre qu’il y ait des gens qui doutent. Une telle domination, forcément… le doute est ouvert. On sait qu’il y a des gens qui ont un avis sur tout. Moi je me dis qu’on est quand même face à un mec, que quand il a décidé de faire la campagne des classiques, il l’a faite et il ne l’a pas faite à moitié” a-t-il singulièrement répondu.
“En soi, on a vu des écarts par le passé bien plus importants que ça. Ce ne sont pas les écarts qui doivent nous inquiéter mais l’état avec lequel il finit. Quand vous voyez Vingegaard, Evenepoel… Ici (Pogacar, NDLR), c’est de la panade, promenade complète, bouche à peine ouverte” a singulièrement nuancé son émetteur. Reste seulement que les couple monde sont vagues : ils n’espèrent pas que certain truc d’singulier ou bien détecté et hébraïque là-dedans les prochaines années opportunément de Tadej Pogacar.
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