
Le légat Jean-Louis Roumégas et d’ex-membres de la nombre de la Archidiocèse de Montpellier dénoncent un esquisse “dangereux” au cœur du district de la Croix d’Argent et appellent à en conduire un pari orthogonal des municipales de 2026.
Ils n’entendent pas confier enfiler ce qu’ils qualifient de “bombe sanitaire à retardement”. Ce vendredi 13 janvier, emmenés par le légat EELV Jean-Louis Roumégas, des militants écologistes ont lancé une récit batailleuse auprès le esquisse de fournil CSR chez le district de la Croix-d’Argent, qu’ils dénoncent quand un “incinérateur de déchets plastiques”. Distribution de tracts, visualisation partisan alentour des halles Plaza : le plaidoyer est manifeste, et le ton désormais vigoureusement ruse.
“Prêt à perdre votre respiration ?”, peut-on déchiffrer sur les placards. L’cible est d’affoler les habitants sur les risques toilettes liés à cette établissement, censée arder parmi 30 000 et 45 000 tonneaux de déchets par an, “majoritairement du plastique broyé”, escortant eux. “En plein cœur de ville, c’est plus qu’une ineptie, c’est un danger public”, poids Jean-Louis Roumégas, dernièrement avantage de la Conférence des Nations Unies sur l’onde à Nice, où un traité universel auprès la humeur pliant vient d’personne adopté.
Un esquisse devenu file de entorse ruse
Sur le occasion, les séculaires amas de la nombre municipale ne mâchent surtout à elles mots. “Il y a un déficit d’information criant. Les habitants n’ont pas idée du danger que représente ce projet”, déplore François Vasquez, ex-vice-président hexagonal chargé de la gérance des déchets, qui a claqué la native il y a changées appointement.
Même jugement dévoiement Coralie Mantion, quand démissionnaire, qui dénonce une dilapidation comptable : “La Métropole s’apprête à engloutir 100 M€ pour construire cette usine à côté d’Amétyst, alors qu’il faudrait investir dans la réduction des déchets à la source.”
Pour les militants, la engagement du CSR sera l’un des grands mises des municipales de 2026. Et l’terme pourrait actif apparaître à se boursicoter dès cet été : un rudimentaire arbre de fer est entrevu le 16 juillet en résolution de Archidiocèse, lorsque de l’audition de la récit délégation permanencier découvert (DSP) afin la variation de l’établissement de méthanisation Amétyst.
“Ce projet doit être stoppé. Il engage la santé des Montpelliérains pour des décennies”, conclut Jean-Louis Roumégas, qui drille comme la corvée du bizuth vice-président à la gérance des déchets, le proconsul Insoumis de Grabels René Revol. Le affrontement ne accident que apparaître…
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