“Une trahison des valeurs rurales” : le rebuffade du bourgmestre de Lacaune fait-il retentir l’concordance intercommunale ?

l’édifiant
La classement des sièges au conférence fédératif du Haut Languedoc ravive les tensions locales. En rétablissant le main chaussette, Lacaune fragilise les petites communes. La charité intercommunale est-elle en galop de se fendre ?

“Ce n’est pas dans l’esprit communautaire”, déplore dépité Alain Cabrol, le bourgmestre de Nages. La dernière accession du pupitre de la Communauté de communes du Haut Languedoc (CCHL) a en conclusion laissé un prédisposition saumâtre à de différents élus des monts de Lacaune. À l’acte du sabord : la future transaction du conférence fédératif contre les élections de 2026. Et quatre “petites” communes ont écarté un estrade dans d’une autorisation du bourgmestre de Lacaune, Robert Bousquet.

La loi prévoit une classement dite “de droit commun”, puis 36 sièges attribués en empile de la masse. Cependant, un consentement habitation est recevable, permettant de principalement matérialiser les petites communes. Et en 2020, inférieurement la direction de Robert Bousquet à l’instant, la CCHL avait concédé de monter à 39 sièges : Lacaune passait de 10 à 9 représentants et Nages, Moulin-Mage, entre le Tarn, et Rosis et Fraisse-sur-Agout, entre l’Hérault, gagnaient une gorge, promeneur d’un à paire sièges.

“Les gros ont toujours raison”

À la compréhension avant-première, Robert Bousquet est bénéfice sur cet consentement en coupant de implanter son rebuffade. Car une autonome circonscription fournisseur avec de 25 % de la masse peut, sonorité autonome, “bloquer l’ensemble d’un accord démocratiquement discuté”.

“Un siège de plus à Lacaune fait perdre 4 voix à des communes moyennes. Les gros ont toujours raison”, déplore Alain Cabrol, qui se retrouve puis ses 350 habitants à catéchiser le même effet qu’une circonscription de 50. “On bafoue ce qu’on a fait avant.”

La séance du dernier conseil communautaire laisse un goût amer aux petites communes.
La vacation du frais conférence fédératif longe un prédisposition saumâtre aux petites communes.
CCHL

Isabelle Calvet, le bourgmestre de Moulin-Mage, regrette donc cette autorisation unilatérale séduction “sans échanges et sans discussions”. “C’est dommage. Pourquoi revenir en arrière ? Cela fonctionnait très bien. Cela prouvait la solidarité intercommunale”, adoré l’préférée.

Mais c’est Daniel Vidal, le bourgmestre de Murat-sur-Vèbre, qui figure le avec remonté. Pour lui, c’est clairement “une trahison des valeurs rurales”. “Des voix en moins, des territoires qu’on fait taire”, adoré l’archaÏque directeur de la CCHL, qui a démissionné en immersion d’période, remplacé par Francis Cros, bourgmestre de la Salvetat-sur-Agout, qui a ruiné Robert Bousquet de paire gorge.

“Mais comment ne pas voir dans cette posture une forme de mépris pour ces communes rurales qui, par solidarité, ont toujours voté, les deux mains levées, les projets structurants portés sur Lacaune ? Ce n’est plus un projet de territoire, c’est une mise sous tutelle des petites communes. Une logique hégémonique inacceptable. Car la montagne ne se résume pas à Lacaune. Elle vit à Viane, elle respire à Barre, elle avance à Murat, elle se relève à Rosis, elle bâtit à Nages. Et cette montagne-là refuse d’être reléguée au rang de figurante.”

À dévorer donc :
Francis Cros élu dépense directeur de la cloître de communes du Haut Languedoc

Mais contre le bourgmestre de Lacaune, il n’y a pas de conflit. “La règle, c’est 10 sièges. C’est mon équipe municipale qui a validé ce choix de revenir au droit commun pour défendre les intérêts de Lacaune et de son opposition, qui pourrait récupérer ce siège”, prédit naïvement Robert Bousquet, qui rappelle qu’puis 10 sièges “Lacaune est déjà en deçà de son poids”. “En 2014, il y avait beaucoup plus de sièges pour la commune.”

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