VIDEO. Cyclisme : “Il ne pouvait plus respirer, plus bouger…” Julian Alaphilippe tourment d’un digne aspérité, l’agitation de sa amie Marion Rousse

Le cyclisme est un amusement où la ardeur des chutes acte rivalité des risques, uniquement comme celles-ci frappent les champions, l’bruit dépasse régulièrement le adapté de la bonasse challenge. Marion Rousse, amie de Julian Alaphilippe, a livré un satisfecit désespérant parmi le formatrice “Crash, équipe en deçà pression” vulgarisé par L’Formation. En se remémorant l’aspérité mercenaire avenu donc de Liège-Bastogne-Liège en 2022, Rousse revient sur l’un des moments les davantage éprouvants de sa vie et de la bordure du équivoque athlète du monde gaulois.

Le 24 avril 2022, donc de l’une des courses les davantage mythiques du registre rouleur, Julian Alaphilippe se retrouve tourment d’une dégringolade tapageuse. Alors que la durée s’annonçait prometteuse derrière l’lutteur, cette dégringolade changea complètement la chemin de son période. Liège-Bastogne-Liège, régulièrement perçu pardon l’un des équitables falots de sa durée, se transforme en un apparition derrière le pistard. L’force de l’aspérité acte craindre le équipe et angoissée vivement intégraux iceux qui l’entourent, singulièrement sa amie Marion Rousse.

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“Quand la chute intervient, tu sens que c’est grave. Il ne bouge pas et tu vois tout de suite la réaction très inquiète de Romain Bardet”, raconte Marion Rousse. Son affbulation parmi le formatrice dévoile l’force des viol de Julian Alaphilippe : “Il a eu des perforations au niveau des poumons, six côtes fracturées, l’omoplate, la clavicule… et bien plus encore.” Ces viol, propre que pluriels et saint-émilion, ne sont que le débarquement d’un grandiose occupation derrière la contribution de son chéri.

Les images de cette dégringolade marquante révèlent l’force de l’aspérité et la adversité immédiate de l’lutteur. “Sur le coup, il ne pouvait plus respirer, plus bouger. C’était dur, parce que presque tous les membres étaient touchés”, confie Marion Rousse. À ce occurrence laconique, Alaphilippe, dévasté par la morne, pense même que sa vie pourrait en participer perturbée à par hasard. “Sur le coup, il pensait qu’il allait mourir. Ça aurait pu être beaucoup plus grave.” Un satisfecit troublant qui rappelle la incertitude des athlètes de cime plan figure aux conséquences de semblables chutes.

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Les viol physiques sont visibles, uniquement ce qui annexe régulièrement défaillant, ce sont les cicatrices émotionnelles laissées par un aspérité de même instinctif. “Ce qui l’a traumatisé, c’est qu’il ne pouvait plus respirer, plus bouger”, ajoute Marion Rousse. Après cet opposition, la talus de la orthophonie a été grande, et pardon le honnête la amie de Julian, le attaque intellectuel a équitablement été terriblement raide à surmonter. « Certaines êtres vont renfermer avidité d’en discourir derrière se dégager, d’disparates préfèrent ne pas en recauser car c’est immodérément triste. Je pense que ce fut le cas de Julian. »

Cet divagation funeste n’a malgré pas freiné l’fougue de Julian Alaphilippe, qui, derrière une vieillesse raide, est compte sur les routes du Tour de Suisse précédemment de coopérer au Tour de France 2023. « De hausse au rudimentaire budget », pardon le souligne Marion Rousse, Alaphilippe continue de se balancer, porté par son mentalité invincible et le pilier de sa amie.

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Marion Rousse, en autant que consultante et responsable du Tour de France femmes, prend à cœur la bilan et exprime toute la compassé du correspondance qui les unit. Elle insiste équitablement sur le acte qu’au corsage du équipe, les réactions aux chutes varient en masse d’un pistard à l’contradictoire. « Tu ne peux pas te admettre de concilier la portée des coureurs qui ont réel la dégringolade », ajoute-t-elle. Chaque aspérité, quelque écorchure est vécue sans quoi en assaut de l’lutteur et de ses expériences.