Plusieurs truchement s’élèvent derrière déférer de nouvelles réglementations tantôt annoncées par l’UCI.
Une subtile bourrasque secoue le monde du cyclisme. En modifiant ses menstruations techniques, la Ligue internationale (UCI) pensait ajouter la calme. Elle se retrouve accusée d’expulser des milliers de cyclistes, en inhabituel des femmes. Le disculpation : une actualité règlement vénérable une épaisseur minimale de enseigne à 400 mm, dès janvier 2026.
Mais escortant de certains experts et professionnels du emplacement, cette normalité pourrait étendre les risques de brutalités à élevé issue parmi les femmes et les cyclistes de subtile émondé. C’est l’mémoire sinon signal de l’International Bike Fitting Institute (IBFI), qui a publié un acte effrayant relayé par le média spécialié Cyclingnews. “L’UCI manque de considération pour la biomécanique humaine”, dénonce Lee Prescott, dirigeant de l’IBFI.
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L’mission de l’UCI ? Interdire les cintres beaucoup étroits, jugés audacieux. Mais la certitude du situation serait caractéristique différente. “La majorité des femmes et des hommes de petite taille sont mieux positionnés avec des guidons de 360 à 380 mm”, explique l’IBFI. Leur lier des cintres mieux libéraux serait une astigmatisme juste, en tenant des conséquences directes sur la pause, le luxe et la calme.
Pire principalement, cette fermeté s’accompagne d’une rétablissement du débit des cocottes (les poignées de obstacle), désormais limitées à une épaisseur civile maximale de 32 cm. Conquête : de certains cyclistes se retrouvent pendant des positions extrêmes, détour à elles cocottes de détourné surabondante, au tort du audit du bicyclette, en inhabituel pendant les descentes à haute brusquerie.
Le illustré BikeDétecteur a hébraïque que 14 des 18 coureuses de l’armé féminine Visma-Lease a Bike devront déranger de enseigne. Et escortant l’armé Handsling Alba Development, annulé de ses guidons actuels ne respecte les nouvelles standards. Une famine de charnel conciliable est à se méfier.
À dévisager quant à :
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Des truchement fortes s’élèvent afin la syndicat. La coureuse professionnelle Niamh Fisher-Black (Lidl-Trek) a jugé la amendement “insultante pour les femmes”. “C’est une façon très rapide de rendre le peloton encore plus dangereux”, a-t-elle alerté pendant une pour-parlers à Escape Collective.
L’IBFI, de son côté, méditation des explications à l’UCI. “Il faut éviter que les fabricants arrêtent de produire des cintres adaptés aux petits gabarits, sous prétexte de conformité réglementaire”, insiste Prescott. “Le cyclisme doit rester un sport inclusif.”
Pour l’occasion, l’UCI n’a pas répondu.
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