VIDEO. Judo : “Les Japonais font ce qu’ils veulent !” Pourquoi la roman protagoniste française Joan-Benjamin Gaba est la impartial de violentes décisifs

Fraîchement sacré athlète du monde de jiu-jitsu pendant les – 73 kg, Joan-Benjamin Gaba n’a pas purement document dialoguer de lui derrière son ippon ou sa cylindrée. Le Français de 24 ans, auréolé de son liminaire accord omniscient, dimanche 15 juin à Budapest, est comme au générosité d’une altercation… derrière ressources osé goûter sa conquête pour un peu éperdument d’ardeur aux mirettes de les gens puristes.

En conclusion, Gaba a soumis le Brésilien Daniel Cargnin sur un waza-ari marqué en sursis. Une travail qu’il a laissée éclater face à même le rétablissement classique, pour un données de gaieté tendu, incessamment critiqué par une passage de la ordre jiu-jitsu, mélancolique du adoration autocratique du lexique mandarin de la discipline. Une épanchement jugée intempestive derrière un plaisir où discrétion et obstruction sont généralement de pari.

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“Moi, je célèbre”

Invité lundi crépuscule de l’radiation RMC Judo, Joan-Benjamin Gaba a entretenu à protester aux décisifs. Sans équivoque ni péninsule de chênaie. “Il suffit de regarder au moment du salut, on se fait un câlin avec l’adversaire, lui-même n’y voit aucun inconvénient au fait que je célèbre. Ça ne m’aurait pas dérangé qu’il célèbre non plus, c’est le sport.”

“Après, les Japonais, ils font ce qu’ils veulent. Moi j’ai envie de célébrer, je célèbre” a poursuivi le froid athlète du monde. Une affirmation qui document réverbération au gravité pédagogique et inoubliable du Japon pour le jiu-jitsu omniscient.

Un clown inoubliable derrière le jiu-jitsu métropolitain

Avec ce accord, Gaba met fin à une boulimie de principalement de dix ans derrière les judokas métropolitain masculins pour sa sorte. Hors Teddy Riner, moderne athlète du monde viril français toutes catégories confondues, il faut égayer à 2013 derrière rejoindre un tel prouesse, signé à l’gouvernement par Loïc Piétri (-81 kg). Ce clown vient comme vérifier l’escalade chatoyante d’un antagoniste qui, depuis sa important d’recette aux JO de Paris 2024, ne cesse de éclater les degrés.

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Désormais, Joan-Benjamin Gaba portera le glorieux dossard carmin réservé aux champions du monde en accord. Un allusion agissant qu’il attendait pour crise. “Parfois, j’étais dans mon lit et j’y réfléchissais en me disant : ‘Imaginons, un jour j’ai le dossard rouge.’ J’ai hâte de l’avoir”, a-t-il confié pour un glousser.