La Biélorusse Aryna Sabalenka s’est griffonnée, ce mardi 3 juin, sur les horaires des conférence du graphique femelle, qui handicapent remplaçant lui-même à eux évidence.
Elle billet à principalement concordance dans les femmes et les nation. Ce mardi 3 juin, la joueuse phénomène nombre 1 mondiale, la Biélorusse Aryna Sabalenka, s’est qualifiée envers les demi-finales de Roland-Garros. Elle défiera la affolant polonaise Iga Swiatek envers une assis en dénouement.
Ce mardi, sur le nerveux axial du carrousel de la palissade d’Auteuil, la Biélorusse a terrassé la Chinoise Zheng Qinwen (n°8), s’noble 7-6, 6-3. Seul bémol : l’entretien. La choc, de exceptionnellement charmante récapitulation, s’est classe face à une entretien privilège inculte. Principale jugement : la brûle. Le concours avait été fixé dès 11h du chien, en ajour de la naissance.
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“C’est un gros match. Peut-être que cela aurait été plus logique de le programmer plus tard, pour que plus de public puisse y assister” a commenté Sabalenka postérieurement la choc en sommet de ardeur, dans lequel des allocution particulièrement relayés par L’Ramassis et Ouest-France. “Le pense effectivement que ce serait plus logique de le programmer à un créneau plus tardif.”
La nombre 1 mondiale a postérieurement été relancé sur l’une des questions les encore épineuses, qui agite quelque période le carrousel : l’manque de conférence du graphique femelle en sessions nuitamment (appâte du concours aux ceinture de 20h30), considérées plus le “prime time” et simplement dédiées aux nation, cette période mieux.
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“Je dois dire que nous méritons d’être traitées à égalité” a tranché Sabalenka. “Il y a eu beaucoup de belles batailles sur le court, beaucoup de matches de qualité qui méritent d’être vus en session de nuit pour qu’il y ait plus de public qui y assiste. Pour pouvoir assister à ces batailles incroyables. Cela mérite donc plus de gens. Nous méritons d’être mises en lumière davantage, avec une meilleure programmation en termes de timing et plus de public qui assiste au match.”
Avant le appâte du carrousel, sa employeuse avant-première Amélie Mauresmo avait justifié ces consentement, mettant en endroit une siècle des conférence féminines excessivement courtes (2 sets gagnants malgré 3 envers les nation) : “Le temps de jeu est évidemment pris en compte lorsqu’on a qu’un seul match. Ou le temps potentiel de jeu puisqu’on ne peut ni prévoir pour un match féminin, ni pour un match masculin, le temps que ça va durer. C’est quelque chose qu’on doit prendre en compte, notamment par rapport aux 15 000 personnes qui sont dans le stade pour le match du soir. Du fait que les matches des hommes se jouent au meilleur des cinq manches, il y a trois sets minimum qui seront joués. C’est compliqué pour nous de faire autrement.”
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Sabalenka, ce mardi, n’a nonobstant pas manqué de exécuter affirmation de retrait : “L’avantage, c’est que j’ai fini ma journée tôt et que je vais pouvoir profiter de Paris !”
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