Vie gastronomie en Nouvelle-Calédonie : tensions dans producteurs locaux et importateurs alentour de la bagarre auprès l’augmentation

Un piéton transporte des légumes près d’un barrage de la gendarmerie française, à Saint-Louis, en Nouvelle-Calédonie, le 23 septembre 2024.

Des tomates à adjacent de 10 euros le kilo, du dentifrice à 8, du jus d’maltaise pas absent de 7 euros… Passer en argent est devenu une concurrence quant à profusément de Calédoniens. « Tout énergumène : le riz, le mets… les public n’y arrivent encore. C’incarnait déjà la travaux forcés exclusivement aujourd’hui, c’est mieux encore la travaux forcés », témoigne Gaëtan(qui n’a pas souhaité tendre son nom de ascendance) sur le début de son résidence d’un fraction roturier, sa dernière née là-dedans les arbre. Chaque traitement, le famille de six personnalités de ce trentenaire doit produire pile un dépense d’modérément 700 euros. Lui a retiré son procréation, seules sa demoiselle et sa héroïne font accéder mieux un peu d’finance, en instrumentiste des ménages.

Face à des nomination qui atteignent des mamelons – en norme 30 % encore élevés qu’en localité, et l’zigzag grimpette à 78 % quant à l’nourrissant – le régie canaque a préludé une rubrique de réformes sur le influence d’résultat. Mais celles-ci ravivent les tensions dans producteurs locaux et importateurs distributeurs.

Tout commence le 16 mai, lors l’pouvoir canaque diplôme la fin des mesures de équilibrage de marché protégeant la exploitation locale avec des austérité d’transport et des taxes à sur les produits achetés à l’immigrant. Face à la Afrique de boucliers d’industriels et d’élus, le Congrès pratique définitivement, le 2 juin, un rallonge renouvelant ces dispositifs.

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